bn vs petit prince

Vincent Meyers

feat Adrien Sahoresâge, naissance x 26 ans, né à New York le 1er septembre 1994.

nationalité, origines x Américain aux belles origines françaises du côté maternel.

statut civil, orientation x Tu as mis de longues années à assumer ta sexualité. Tu étais un gosse paumé, jusqu'à ce que tu foutes un poing dans la gueule de ceux qui t'insultaient. Le dire aux parents c'était une autre histoire...ça a encore plus fragilisé les rapports que tu entretenais avec eux. Enfin avec ton père ce connard...Ta mère, elle a toujours été là pour toi. Côté relation, t'es clairement célibataire ! T'es jeune, tu profites sans te poser trop d'questions, malgré l'approche de la trentaine.

occupation x (glitter world) Tu as arrêté tes études, vivais sous la fortune familiale il y a encore quelques mois jusqu'à ce que ton père cesse de fournir ton compte en banque. Tu t'es lancé dans le mannequinat car ça demande pas beaucoup d'efforts. Juste à user de ta belle tronche. Quelques contrats par ci, par là. Tu penses à te lancer dans une autre affaire mais tu réfléchis d'abord et parce qu'au fond, tu ne sais pas trop quoi faire de ta vie. T'es un peu feignant sur les bords aussi...

situation familiale x Un père bien chiant avec qui tu limites les échanges pour ne pas se fatiguer. Une mère adorable et attentionnée et une petite soeur auprès de qui tu es très proche, hyper protecteur. Petite princesse du foyer qui vit pas mieux la pression familiale.

à philadelphie depuis x Presque 6 ans. Quand tes copains sont partis, t'avais plus trop de raisons à crécher sur New York. Pourtant tu l'as toujours aimé cette ville mais sans eux, elle était si fade. Une pomme sans jus quoi !

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Hello darkness, my old friend. I've come to talk with you again.
01 x Parfait portrait du petit enfant riche : coupe au bol, raie au milieu. Sourire un tantinet énervant. Tu as étudié dans les meilleures écoles privées, à porter l'uniforme. Si ça tu t'en foutais, la fierté dans les yeux de ta mère était d'or. L'on a beau dire, tu étais le cliché même du bourge comme on voyait dans les séries télévisées telle que Gossip Girl ! A une exception près : c'était pire dans la réalité et beaucoup moins cool. Tu côtoyais déjà des faux culs dans la cour de récré. Sans compter la compétition qui était de mise - à se demander si ça importait plus à tes têtes à claques de camarades, ou à leurs parents. Toi, tu voulais juste sauter dans les flaques de boues, tirer les cheveux, ne pas assister aux repas de famille et devoir souffrir des poignes fripées de grand-mère sur tes joues. Te tenir droit à table, coudes hors de la nappe, tu t'en fichais. Ca te fatiguait de devoir sourire aux invités, de jouer au loup avec la fillette De Mara. T'aimais pas les filles ! Tu voulais courir...jusqu'à en perdre souffle pour te sentir libre. Libre de ces responsabilités qui n'étaient pas encore tiennes mais dont tu ressentais déjà le poids sur les épaules.

02 x Tu t'es longtemps cherché petit oiseau. A devoir tester un peu tout pour savoir tes préférences. A cette époque, tu as même roulé un patin à ton ami d'enfance, car c'était plus simple pour vous - sauf que c'était franchement dégueulasse, enfin trop bizarre ! - Vous partagiez ce même secret, beaucoup moins flippant d'apprendre à se connaître ensemble avant de s'exprimer aux yeux du monde. C'était une sacré épreuve ça aussi ! A savoir qu'on vous emmerdez. Remarques à outrance, ces casse-bonbons. Tu as fini par péter un plomb, à foutre ton poing dans leur gueule. Cela faisait un bien fou même si ça t'a valut une exclusion. Tu as défendu ton pote, c'était le plus important. Comment expliquer à tes parents pourquoi tu as levé le poing ? Sa gueule à elle seule était une excuse, mais c'est pas ce que t'as dit. T'avais même pas eu l'occasion ni l'envie de t'expliquer. C'était comme ça, point barre. Ton coming-out c'était lors d'un repas de famille. Contexte parfait, moment idéal pour provoquer davantage ton père. Quand t'y repenses, tu jubiles. Tante Madeleine a bien faillit s'étouffer en bouffant ses fruits d'mer. Ta mère a plongé ses grands et doux yeux clairs dans tes brunes pupilles tandis que ton père a marqué un long silence avant d'avaler son morceau de viande. Silence qui en disait long. Le seul truc que tu retiens de ce jour, ce n'est pas les sermons post-repas. C'est le sentiment de plénitude ressentie au plus profond de toi. Ainsi que la bienveillance de ta mère et son amour inébranlable.

03 x Tu as beau être un bon type, t'as clairement tes mauvais côtés. Tu peux être insupportable ! T'en fais qu'à ta tête. Nul peur d'être rejeté pour qui tu es - tu en as longtemps tremblé - tu te dis que si on t'aime pas, tu vas pas te battre pour. Tu sais ce que tu vaux, tu changeras pour personne. On te prend ou ciao ! Du coup avec ça, tes amis on les compte sur les doigts d'une seule main même si c'est pas tous les jours faciles. Relations hautes en couleurs, on est pas nés pour se faire chier n'est-ce pas ? Du groupe, t'es peut être le premier à inviter à faire des conneries. Véritable casse-cou ambulant, tu fais les pires blagues, des sales coups fusions. T'as pas peur aux yeux. Faut dire que t'as eu un bon professeur. Hermès, ton acolyte depuis des années. La question est, est-ce que l'élève à dépasser le maître ? Pour rien au monde tu changerais tes fréquentations. T'es juste un type qui veut vivre sa vie sans trop s'poser de questions. Ton côté immature tu as en conscience certes, mais ça te fou des boutons d'être sérieux. Est-ce que les responsabilités, devenir adulte t'effraie ? Peut être bien...

04 x Arrivé à Philadelphia représentait pour toi la chance d'être qui tu voulais vraiment. Tu étais un jeune homme profondément en colère. Et pourtant...en quittant la Grosse Pomme - tu ne l'as jamais dit à personne - c'est comme si tu avais perdu la chance de résoudre les diverses discordes qui rythment ta vie depuis le début de ton adolescence. Si au départ tu avais une vision plutôt morose de la situation, aujourd'hui c'est tout autre. Sans doute que la distance qui vous sépare ton père et toi aidera à la résolution de vos crises perpétuelles. C'est ton souhait le plus cher, car au fond il te manque. Il a beau être un père sévère, tu avais beau n'en faire qu'à ta tête étant gosse, tu respectes ses valeurs et les partage. C'est juste plus enfoui en toi que tu ne le voudrais. T'en es certain qu'un jour, au détour d'une longue conversation avec lui, vous arriverez à vous comprendre. Tu aimerais simplement qu'il sache que si tes choix ne sont pas identiques à ceux qu'il rêvait, ça ne fait pas de toi un fils moins bon. Au contraire, vous pourrez vous complétez. Utopique ou non ? T'es rêveur oui et ça ne te semble pas irréalisable.

#bonappetit#catlovers#popcorn

pseudo, prénom x Pau âge x 28 pays x France personnage x Inventé comment nous as-tu connu ? x Grâce aux copains bn vs petit prince 2731255327