events en coursBrian profitait de ses vacances entre parties de jeux vidéos et piscine. Ses parents partis pour le week-end, il a eu l'idée de génie : une petite soirée entre amis. Un sms envoyé, un effet boule de neige... (+)
bienvenue parmi nousA la recherche d'un petit cocon où venir poser tes valises ? Envie d'une communauté unie, d'une bonne ambiance et tout ceci dans un forum qui met en avant la reine d'un tv show ? shades of town est fait pour toi ! Sous les grands immeubles de la belle "Philly" pour les intimes, embarque ton personnage dans un quotidien qui ne réservera pas que du "boulot, métro, dodo". On trépigne d'impatience à l'idée de te voir débarquer parmi nous, alors n'hésite plus et fonce !
âge : trente-six années de printemps fanées, d'hivers gelés, d'étés mourants et d'automnes sans vie.
statut civil : célibataire, dans l'optique de s'amuser avec plus jeune. déteste les hommes de son âge ou plus âgés. adore dominer une relation... prendre et jeter.
mais en réalité le cœur bat depuis des années pour un homme, n'ose imaginer autrement que le voisin de palier ou le sex friend. c'est tout, et c'est mieux comme ça... trop toxiques.
occupation : matriarche d'un réseau d'escort girl. gérer les gamines et l'argent, faire en sorte de les protéger et de les aider à faire raquer davantage.
habitation : 23b - appartement / callowhill à northern liberties.
à philadelphie depuis un mois, matriarche d'escort girl, exerce dans un hôtel de luxe et y donne rendez vous à ses gamines quand c'est nécessaire. utilise davantage le téléphone.
oiseau nocturne qui adore batifoler, elle préfère les chairs jeunes à celles de son âge.
elle préfère jouir de la jeunesse que des vieux, mais les exceptions existent.
n'attendez rien d'elle, car elle prend puis elle jette. rares sont les récurrents à jouer dans ses draps.
il est tard. les draps sont souillés, la nuit est à peine commencée. et les odeurs se mêlent d'un tabac froid à de l'alcool fort, qui se mélangent étrangement au parfum musqué. le regard froid, dans le vague. aucun sourire, aucune émotion... le corps à moitié nu allongé sur le lit aux draps défaits, le plafond semble être devenu une source d'inspiration, blanc immaculé où les ombres de la nuit jouent aux devinettes. une nouvelle toile qui se peint différemment chaque soir, chaque nuit. sans pour autant trouver la même émotion que le premier tableau peint. ce premier tableau qui avait trouvé grâce, place dans le cœur. un amour désavoué. surtout voué aux ténèbres, à la destruction. je me demande ce qu'il est devenu... ce qu'il fait.
l'eau se coupe et les pensées se recentrent. féline, je me lève délicatement du lit sans faire un bruit quittant le confort de ma chambre et des ombres pour la lumière superficielle du couloir. la porte de la salle de bain s'ouvre sur un jeune homme trop excitée pour cacher la joie d'avoir passé un moment dans les draps d'une femme mure. il pourra raconter à ses potes qu'il a pécho une nana digne d'être sa mère mais qui baise bien mieux que toutes ses potes ou exs copines. il avance pour m'embrasser, j'esquive en présentant le couloir du bras. hors de question qu'il pense que c'était le début d'une quelconque relation amoureuse. hors de question qu'il pense passer plus de temps ici... c'est un coup, et rien de plus. j'enfile la robe de chambre en soie beige sur mes sous-vêtements, sans fermer la ceinture, et le suis jusqu'à la porte d'entrée. j'acquiesce chaque fois qu'il complimente l'ébat, lui assurant qu'il est un grand garçon... même si le manque d'expérience est contraignant, la vitalité est suffisante à mon plaisir. il dévale les escaliers, saute presque deux marches par deux marches et je soupire quand la porte de l'immeuble se ferme. dos qui se pose sur le chambranle de la porte, la tête qui vient cogner le bois et les yeux qui se ferment. les pieds nus sur la moquette de l'entrée et le parquet de l'appartement, ça me rappelle tellement de chose, que j'espère au fond que la porte d'en face s'ouvre. qu'il sourit, et sans un mot, je finis la nuit chez lui. mais rien. si ce n'est le silence.
la tête qui se redresse, le regard qui se perd un bref instant dans le vague, les seuls moments où je m'octroie une perte de contrôle minime. et le bruit d'une porte, léger sursaut, surprise dans le regard. il est quand même deux heures du matin. c'est un rêve. j'ai du m'endormir... c'est la seule explication. le souffle en est coupé, les larmes menaceraient presque si seulement j'étais capable de vraiment pleurer. mais ils brillent d'un éclat... la tristesse, la peur, la joie... et le nombre de questions qui doivent fuser. je me redresse légèrement, donnant une légère impulsion de l'épaule sur le chambranle pour lui faire face. j'avance d'un pas, puis de deux très légèrement, tends la main vers son visage, touche du bout des doigts la barbe de plusieurs semaines. « wyatt ? » soufflé légèrement comme si j'avais peur qu'il disparaisse.
Wyatt Hunterhors ligne x let me show you the way.
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âge : 35 ans
statut civil : célibataire. parce que c'est mieux comme ça. pas d'attache. pas de sentiments. t'es pas fait pour avoir une relation. longue ou éphémère. t'as pas envie de briser encore une fois ton coeur. même si ton palpitant s'est déjà emballé pour quelques femmes. des femmes qui t'ont marquées au fer rouge.
occupation : tu dors pas la nuit. les insomnies elles te collent à la peau depuis trop longtemps. t'as trouvé un boulot qui pouvait t'éviter de retomber dans tes cauchemars les seuls moment ou tu sombres dans les bras de morphée. tu erres la nuit dans un parking. pour surveiller que tout se passe bien. gardien de parking. qui l'aurait cru hein?
âge : trente-six années de printemps fanées, d'hivers gelés, d'étés mourants et d'automnes sans vie.
statut civil : célibataire, dans l'optique de s'amuser avec plus jeune. déteste les hommes de son âge ou plus âgés. adore dominer une relation... prendre et jeter.
mais en réalité le cœur bat depuis des années pour un homme, n'ose imaginer autrement que le voisin de palier ou le sex friend. c'est tout, et c'est mieux comme ça... trop toxiques.
occupation : matriarche d'un réseau d'escort girl. gérer les gamines et l'argent, faire en sorte de les protéger et de les aider à faire raquer davantage.
habitation : 23b - appartement / callowhill à northern liberties.
à philadelphie depuis un mois, matriarche d'escort girl, exerce dans un hôtel de luxe et y donne rendez vous à ses gamines quand c'est nécessaire. utilise davantage le téléphone.
oiseau nocturne qui adore batifoler, elle préfère les chairs jeunes à celles de son âge.
elle préfère jouir de la jeunesse que des vieux, mais les exceptions existent.
n'attendez rien d'elle, car elle prend puis elle jette. rares sont les récurrents à jouer dans ses draps.
les doigts qui touchent la peau, la barbe de quelques jours, de ces yeux qui manquent cruellement de sommeil, il y a une flamme qui s'est allumé d'un coup. la même flamme qu'avant, le même besoin. le même amour, sans doute. j'aimerais que les larmes viennent se mêler à la surprise, que le destin ne se joue pas autant de nous. de nouveau voisins de palier, et pourtant j'ai l'impression de le voir comme la première fois. étonnée, dans ses habits du dimanche, fatigué de ne pas pouvoir dormir, étouffé par ses démons. et l'âme complètement brisée. le sentiment de se regarder dans un miroir, d'y lire ma propre peine, mes propres cauchemars. c'est dur de décrire toutes les émotions qui me submergent alors qu'il encadre délicatement mon visage de ses mains puissantes. peut-être bien qu'elle finit par rouler, cette foutue larme. glisse lentement sur la peau de lait pâlit par la stupeur, qui prend vivement des couleurs quand les lèvres familières viennent rencontrer les siennes. le souffle est coupé et la douleur vient trouver sa place au creux des seins. il m'a tellement manqué que ça fait mal... ça blesse tellement, que je pourrai juré que ce n'est pas bon. c'est du poison. ce goût de tabac qui jure sur sa langue me donne la nausée mais je ne peux pas me séparer de lui. c'est physiquement impossible. alors qu'il me soulève du sol, me porte finalement, impulsion donné pour venir m'accrocher à lui, bras qui entourent son cou. les lèvres qui ne peuvent se desceller durant tout le processus. et on retrouve la chaleur de mon appartement, les meubles n'ont pas vraiment changé depuis l'ancien, quelques couleurs rouges qui parsèment le blanc cassé habituel. une configuration légèrement différente, mais une cuisine américaine avec un îlot central où wyatt décide finalement de me poser. le froid du marbre m'électrise la peau mais ses baisers viennent tout conjurer. sa pensée brute était la même que la mienne.
j'étais persuadé qu'on ne se reverrait pas. j'étais morte. tu me croyais morte. et je devais le rester, pour moi, pour toi. nous tuant en même temps.
les yeux qui se ferment quand les frissons se dessinent partout où il passe les lèvres. « j'étais morte. » c'était dur à avouer. beaucoup de choses à rattraper, la honte de lui montrer mon dos... raconter l'histoire qui se cache derrière mais... est-ce que l'on avait vraiment envie de parler ? là, maintenant ? non. revenue d'entre les morts, suivi par le destin. l'homme dont j'étais folle amoureuse se trouve être à nouveau le voisin de palier. l'amour que je lui vouais était naturel, inconscient aussi. trop similaire pour avoir quelque chose de stable. trop peu enclin à quelque chose de simple, de beau. nous n'étions pas beaux... nous étions les flammes des enfers. et les rideaux poisseux et vaporeux de la mort nous entouraient quoi que nous voulions. la tête qui tombe doucement en arrière lui offrant ma poitrine comme un cadeau, la soie qui glisse jusqu'aux poignets. revenir à sa position initiale, se redresser, fière. attraper le col entre les mains, l'attiré à moi. « je pensais jamais te revoir. » parfait mime, mais la même pensée partagée. je le repousse doucement alors même que je descends du plan de travail, laisse tomber la chemise de soie sur le sol, avance devant lui, offre la vision du dos et des trop nombreuses cicatrices. « je t'ai dit que j'étais morte. » un regard par dessus son épaule avant de disparaître dans le couloir et d'ouvrir la porte de la chambre. il n'y avait aucun sourire, le regard était froid... glacial. la peur du jugement et de l'horreur qui pourrait se lire dans le regard de wyatt me terrifiait plus que les démons, plus que la mort elle-même. car s'il n'était plus en mesure de m'aimer, qui le ferait ? debout face aux pieds du lit, le soutien-gorge qui saute d'un doigt. corps à moitié découvert. l'amour, hein ? est-ce que vous connaissez le nôtre ? car si tout vous semble adorable, doux... il est loin d'être cette mer calme. la tempête va se déchainer, les ouragans prendre place... et il n'y aura plus que le silence des étranglements pour hurler le plaisir des retrouvailles.