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Tag hashtag sur shades of town PAZoQUWSujet: amour fougueux. (stella)
Stella Bianchi

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Rechercher dans: perfect illusion   Tag hashtag sur shades of town EmptySujet: amour fougueux. (stella)    Tag hashtag sur shades of town EmptySam 12 Sep - 12:33
Stella Bianchi a écrit:
STELLA ARYA BIANCHI
feat Jenna-Louise Colemanâge, naissance x Bethany Anderson, ma génitrice à eu une grossesse à risque dès le début, les médecins lui avait donner le choix entre garder ou d'avorter le fœtus. Pour ma mère, le choix était vite choisi et personne ne pouvait la dissuader. Elle voulait cette enfant plus que quiconque, elle voulait un deuxième enfant au risque de sa propre vie. C’était un peu égoïste pour l’aîné de la famille qui avait encore besoin d’elle, mais elle prit ce risque jusqu’à l’accouchement. Un travail fatiguant, de plusieurs heures, pratiquement vingt-quatre heures de travail avant que je pointe le bout de mon nez sous le dernier cri de la mère en sueur et en pleure. Elle fut tellement épuisée qu’elle n’avait plus la force de me prendre dans ses bras. Je suis donc née en un jour d’été durant un beau jour de canicule, le DIX-SEPT AOÛT MILLE NEUF CENT QUATRE-HUIT, dans un hôpital privé de la ville de philadelphie, en amérique. Une ville pleine de mauvaises souvenir que de bon, une ville que j’avais quitté durant pratiquement trois ans avant de revenir dans ma ville natale parce qu’elle me manque terriblement. Je suis donc revenu en philadelphie, aux sources après un las de temps. Je n’ai jamais eu de soucis avec mon âge quand j’étais beaucoup plus jeune, je me disais toujours « on vas tous vieillir de toute manière. » Disons que je ne tiendrais plus ce genre de discours au jour d’aujourd’hui. Je n’ai pas peur de prendre de l’âge, mais j’ai bien peur d’arriver à la quarantaine bien qu’il me restera plus que huit années pour y parvenir, mais que vais-je durant ces huit années à venir ? Hormis prendre de l’âge. Je risque de faire ma crise de la quarantaine, car c’est à ce moment-là qu’on remarque vraiment qu’on commence vraiment à vieillir. Je vais souffler mes trente-deux ans en août prochain, je profite de mes derniers mois pour profiter de mes TRENTE-ET-UN AN. j’assume parfaitement mon âge, néanmoins pas forcément tout mon vécu jusqu’à présent.

nationalité, origines x  Il ne faudra pas aller loin afin de savoir mes origines, il suffit de savoir le nom de géniteur pour se douter des origines qui règnent chez la famille Bianchi, ceux qui font que du sang ITALIEN coule dans toute la famille. Il a épousé une AMÉRICAINE pure souche qui nous a donc offert la nationalité américaine en ayant cris mes premiers cris sur le sol américain. Je tiens beaucoup autant à ma nationalité qu’à mes origines, c’est pour cela que je parle couramment Italiens. Ce n’est pas le cas de tous les membres de la famille Bianchi. Être fière de mes origines ne veut pas dire tenir à son géniteur pour autant et c’est pour cette raison que j’y suis allé m’y installer durant un an et demi avant de revenir sur le sol américain.

statut civil, orientation x Ce n’est pas qu’une impression que nos vies à mon frère aîné et la mienne soit dicté par notre daron, Vincenzo Biancho. Cet homme qui aime le contrôle de sa famille au complet, tellement qui choisis le prétendant de certains de leur enfant et en commençant par moi, il m’a promis à quelqu’un depuis ma majorité sans le savoir, je suis donc promise à quelqu’un. Je suis donc OFFICIEUSEMENT FIANCÉE et OFFICIELLEMENT CÉLIBATAIRE, c’est donc compliqué de vie ma vie sentimentalement sans avoir la conscience tranquille. Mon prétendant n’est autre que le fils du meilleur ami de mon géniteur. Seulement, mon cœur palpite depuis des années pour quelqu’un en particulier, pour un homme qui fait tout son possible pour m’aider à m’élever. Mon cœur est donc chambouler pour mon meilleur ami depuis l’enfance, chose que mon géniteur n’est pas au courant. Dans la famille des Bianchi, personne n’a le droit à céder aux principes de la vie, de ne pas sortir du moule. De ne connaître que le plaisir charnel avec les hommes quand on est une femme ou vice-versa. Le daron n’aimerait pas apprendre que sa fille aînée aime autant les hommes que les femmes, malgré son penchant pour la sueur d’un homme. Je ne choisis pas de qui tomber amoureuse à cause du sexe de mon compagnon, j’aime autant la virilité d’un homme que la douceur d’une femme. J’aime donc les deux compagnies ce qui me définit de BISEXUELLE, chose de tabou auprès de l’homme de famille qui risque de tomber de haut lors de l’annonce de ma sexualité, lui qui m'a marier à un homme

occupation x (golden hour) Ce n’est pas dans nos habitudes d’être à la maison et garder les croisés à attendre l’argent du daron pour le dépenser en seulement quelques jours. Après des années d’études pour DEVENIR VÉTÉRINAIRE, j’ai décidé de changer de voix du jour au lendemain. Ma défunte mère aimait beaucoup les magasines tendances et avait même travailler pendant quelques années dans une entreprise de mode. Elle m’avait refilé sa passion durant les courts moments passer ensemble. J’ai dû reprendre une nouvelle filière durant deux ans avant de faire que des stages dans des entreprises de mode, des maisons d’édition et j’en passe avant d’avoir un bon rang au bout de deux ans et demi de galère. Néanmoins, j’étais plus déterminé et plus motivée à avoir ma propre entreprise. C’est pour cela que j’ai décidé à l’âge de mes vingt-six ans me lancer dans l’ouverture de MON ENTREPRISE FANSHION MARK’S qui est le nom de mon dur labeur. L’entreprise à fait son ouverture neuf mois plus tard lors de mes vingt-sept ans, le jour de mon anniversaire. En dehors de mon temps de travail, j’aime être utile et propose donc mon aide en tant que BÉNÉVOLAT DANS UNE ASSOCIATION POUR ANIMAUX ABANDONNÉ depuis plusieurs années. J’ai toujours voulu être épanouie dans le monde professionnel et c’est le cas, malgré que parfois, j’aimerais essayer d’autres horizons. Mais, je ne le tente pas pour ne pas faire couler mon dur labeur

situation familiale x Je ne pense pas que faire partir de la famille Bianchi ferait plaisir à quiconque, surtout avec celui qui se prône à la tête de la famille, VINCENZO BIANCHI, un Italien pure souche. Cet homme aux allures ténébreux qui pourrait tuer quiconque qui se met à travers de son chemin, au début, la peur m’envahisse de me retrouver près de lui lors de ma jeunesse, ce n’est plus tellement le cas depuis la mort de ma défunte mère. Il avait rencontré sa femme lors de son séjour avec un visa sur les sols américain lors de sa jeune, vers les coups de dix-neuf ans avant de tomber sur la femme qui lui avait permis de s’y installer grâce à leur mariage. Au jour d’aujourd’hui, il est psychologue dans son propre cabinet pour pouvoir jouer l’homme aimable pour mieux tirer derrière. Est-ce un mariage d’amour ou un mariage gris ? Personne ne pourra nous donner la réponse. J’ose espérer qu’il y avait un amour entre eux au vu des circonstances de ma mère. BETHANY ANDERSON, une femme avec un très bon cœur et d’empathie qui a su aimer un homme comme lui. Elle travaillait en tant que salarié dans une entreprise ou qu’elle était écrivaine pour les magasines sur la mode, malheureusement, elle part beaucoup trop tôt suite à une noyade en mer. Une noyade qui cache un meurtre dont personne n’est au courant sauf son frère aîné -et moi. EZIO un homme au grand cœur, malgré ce qu’il laisse paraître, il n’est pas du tout émotive et ne dira jamais ses sentiments. Suite au décès de ma mère, le daron n’a pas attendu trop longtemps pour se marier une seconde fois avec une peste qui souhaite que son fric. Je suis juste après mon frère aîné ayant la même mère. Il est aveuglé qu’il lui fait trois mômes : DEUX FILLES et UN GARÇON que je considère comme mes sœurs et frères, mais pas cette femme. Cette tueuse d’homme pour son argent

à philadelphie depuis x depuis ma naissance.
TêtueLoyaleCoriaceambitieusedoucespontanée
Hello darkness, my old friend. I've come to talk with you again.« - Stella, peux-tu venir, ma chérie. » La voix de ma mère retentit au loin, je marche jusqu’à la rejoindre dans la deuxième chambre d’amis ou qu’elle est assise sur le lit. Je lui jette un regard interrogatoire avant qu’elle tapote le lit en souriant, je finis par la rejoindre et monte avec difficulté. Je n’avais que quatre ans à cette époque-là, elle m’aide pour monter en me positionnant entre ses jambes avec un grand livre entre ses mains. Je lève le regard vers son regard avant de sourire « - Tu vas me raconter une histoire, maman ? » elle hoche du visage à ma question avant de m’offrir un baiser sur le front avant de commencer de tourner les pages du livre en question. À ma plus grande surprise, ce n’était pas un livre d’histoire, mais un album photo regroupant les photos du mariage de mes parents à la dernière photo de famille. Je souris en parcourant l’album avec ma mère, tournant les pages pour visualiser chacune des photos. « - Maman est toute belle. » Sifflais-je d’un ton fragile en souriant légèrement en regardant ma génitrice qui tapote la tête en ayant une expression neutre, sans émotions. Est-ce normal ? À quatre ans, on ne fait pas forcément attention aux sentiments des parents quand ils ne montrent pas leurs sentiments. « - Ma chérie, Ezio et toi, vous êtes les prunelles de mes yeux. Promets-moi que tu seras toujours présente pour lui ? » Mon regard se fixe un instant sur celui de ma génitrice ne comprenant pas ce qu’elle raconte. Je ne comprends pas ce que cela veut dire et pourquoi. Pourquoi elle me dit cela tout d’un coup, elle me fait peur. J’ai un peu peur de ce qui se passe, mais n’en dit rien pour ne pas contrarier ma génitrice. Je finis juste par lui offrir un baiser sur sa joue avant de poser mon visage sur sa cuisse avant de m’endormir sous le défilé des photos de famille.

Les mois passent sans qu’on puisse s’en rendre compte, nous sommes déjà le dix septembre, un mois après la fête de mon anniversaire. Je n’avais pas été à l’école élémentaire, car personne ne m’avait amené, j’ai passé la journée à la maison sans personne. « - Ma chérie, reste bien tranquille ici. Je ne vais pas tarder à revenir, d’accord ? Je dois juste acheter certaines choses en ville. » Maman avait des choses à faire en ville, mais était bien longue à revenir. Je ne savais pas rester en place donc je fais le tour de la maison sans me faire entendre. Mon père ne supporte pas que je fasse le tour de la maison sans aucune raison, mais l’ennuie est omniprésent. Le midi, j’avais mangé avec Ezio qui était rentrer pour manger à la maison. C’était un ami à notre père qui avait réchauffer le repas et nous a servit. « - Maman n’est pas rentrer depuis ce matin, Ezio. » disais-je en bégayant légèrement avec inquiétude. Tout le monde savait que je ne pouvais pas rester loin de maman et que l’inquiétude était ma préoccupation première quand ma mère n’était pas auprès de nous. L’après-midi fut assez longue que je me suis endormie sur le canapé du salon, des messes basses me font ouvrir les yeux difficilement avant de voir des silhouettes au loin parlant de ma mère. Je me redresse rapidement en me positionnant au fond du canapé et le regard brouillé en clignant des yeux. « - Maman est là ? » je me frotte les yeux à l’aide de mes mains avant de constater que les hommes sont surpris de me voir, ils partent sans piper mots me laissant seule avec ma question. Mon géniteur commence à hurler à travers les pièces, je saute du canapé et me cache sous la chaise pour ne pas me faire crier dessus. Il a tendance à crier de la sorte quand je fais une bêtise, mais je n’ai rien fais de mal. « - Je sais que tu te caches, Stella. Montre toi, je dois te parler. » bizarre, un ton nouveau. Dois-je le croire et me faire montrer ? Je finis par sortir délicatement de ma cachette avant de le voir près de moi avec un regard vide. C’est la première fois que je le vois ainsi, c’est trop bizarre. « - Ma puce, on doit discuter, tu es une grande fille, n’est-ce pas ? » Je penche le visage avant de sentir sa main prendre la mienne en me guidant vers le fauteuil ou qu’il m’assoit sur ses genoux. « - Tu ne vas pas me crier dessus, papa ? Je n’ai rien fais… » Il soupire en posant sa main sur mon épaule avant de secouer le visage. « - Non, c’est au sujet de ta maman.. Il lui ai arrivé malheur à ta maman. » je ne comprends absolument pas ce qu’il me raconte. « - Elle va revenir, elle a promis. » a cinq ans, on ne connaît pas tellement la mort comme il le faut. Maman m’avait raconté une histoire sur cela quelques nuits avant. « - Maman n’est plus là, elle est partie au ciel. » je secoue le visage ne voulant pas savoir, elle va revenir, c’est sûr. Elle me l’a promis et elle ne casse jamais sa parole. « - Tu mens. Tu es fâché contre maman donc tu dis cela pour me faire peur. » C’était des conneries ce que je raconte, mais ne voulais pas entendre la vérité. Mon père pose sa main sur mon menton en le levant pour que je lui fasse face avant d’essuyer les larmes qui coulent sur le visage. « - Tu as tort. Maman ne sera plus là pour s’occuper de vous, mais elle vous regardera d’en haut. » Sous ses mots, je me lève et quitte la pièce pour ne plus rien entendre. Durant des heures, j’étais sur mon lit en train de pleurer en étant replié sur moi-même, la tête sur mes genoux et mes bras entourant mes jambes. Ezio arrive quelques instants plus tard et sous le silence, il me prend dans ses bras pour nous réconforter. Un réconfort qu’on mettra des années à s’en remettre pour arriver à aller de l’avant. Sans pour autant oublier notre mère.

Vincenzo n’a pas attendu très longtemps pour finir son deuil puisqu’il ramène une nouvelle femme par la suite, un an et demi. Comment pouvait-il pouvoir se marier après seulement un an et demi de deuil ? Je ne comprends pas, mais c’était son choix et il nous l’impose qu’on l’accepte ou non. Sa nouvelle femme était plus jeune que lui de plusieurs années. Sa femme se prénomme Erika, une demoiselle à peine plus haut de la vingtaine à tout craché. Au bout de plusieurs années, nous sommes une famille recomposée de sept membres en comptant nos parents. J’avais toujours refusé de l’appeler « maman » tout simplement qu’on a qu’une seule mère dans la vie. Elle ne la remplacera pas, en aucun cas. Âgée de quinze ans, la famille de mon père ne faisait que des aller-retour que parfois certains passer la nuit à la maison. Un oncle n’arrêter pas de me reluquer à chaque passage à la maison, c’était déstabilisant. Sauf, qu’un soir ou qu’il passer la nuit à la maison, il est venu me rejoindre dans ma chambre sans faire un bruit. J’étais dans les bras de Morphée avant de sentir des mains me caressant la peau doucement avant d’arriver à mon entrejambes. J’étais assez grande pour comprendre ce qu’il se passait, j’ouvre les yeux en tournant rapidement le visage en tombant sur le visage de mon oncle qui pose sa deuxième main sur ma bouche en faisant les gros yeux. « - Tais toi, ne crie pas ou je te tape. » j’avais envie de crier haut et fort. Il maintient ma bouche pour ne prendre aucun risque que je crie en montant doucement sa main avant de la frotter légèrement sur mes lèvres. J’écarquille les yeux en grand avant de me débattre avant de réussir à me lever, il en fait de même avant de m’attraper par les bras et me faire tomber sur le lit sur le dos. « - Tu vas te taire, crois moi. Tu n’as plus ta mère pour te protéger comme autrefois. » Les larmes coulent sur le long de mon visage en sentant son sexe à l’entrée du mien, il m’offre un sourire sadique avant de tenir mes deux mains au-dessus de ma tête d’une seule main en levant ma robe jusqu’au cou pour voir mes formes déjà formées. « - Tu me donnes envie depuis des années, tu le sais. Je ne vais pas me gêner et si tu dis quoi que ce soit, personne ne va te croire. » Sous ses mots, il me donne un coup de rein brutal qui me retient un hurlement. Un hurlement que peu de gens peuvent entendre puisqu’il a posé rapidement sa main sur ma bouche. Je ne pouvais pas me débattre quoi qu’il puisse arriver pendant l’acte. Il était en train de prendre son plaisir durant que j’en pleure de perdre la chose la plus importante pour une fille. Une fois finit, il se retire en s’habillant en rigolant de son exploit. « - Je risque de venir te voir assez souvent, Stella. » Ses mots, sa voix, son regard… Tout me répugner chez cet homme. Il quitte la chambre en me laissant seul dans le noir. Je reste dans la même position en pleurant durant de longues heures avant d’aller me laver pour essayer de tirer toute cette souillure, mais en vain. Je ne voulais plus dormir dans mon lit cette nuit, c’est pour cette raison que j’entre dans la chambre de mon frère aîné. J’entre dans la couette avant de poser mon regard sur mon frère avant de poser mon visage sur son épaule avant de m’endormir sur lui, en sécurité. Malheureusement, je ne pouvais pas dormir tous les jours avec lui et depuis ce jour, il n’arrête pas de venir plus souvent. Plus souvent dans ma chambre au point que c’est devenu un rituel. Au point qu’à la fin, je vais en parler à mon père pour qu’il me sauve de cette torture. La réponse de mon père n’était visiblement pas ce que je voulais, mais ne savait pas qu’il préfère protéger son frère que sa propre fille. « - Tu n’as pas intérêt à en parler à personne, Stella. Je le serai si tu en parles et tu risques fort en conséquence. » Ses paroles m’ont brisé. Je serre les poings en quittant la pièce les larmes coulant le long de mes joues en claquant la porte de toutes mes forces. L’injustice de cette famille est que le père fait passer les autres avant ses deux premiers enfants, nous n’avons pas la chance de partager leur joie, leur bonheur. Nous avons dû essayer de survivre à notre façon dans ce milieu pourri. C’était tout à fait normal que sa fille se fasse violer par son propre frère sans qu’il lui en fasse payer les conséquences pour ses conneries, au point que les agressions sexuelles sont devenue constante.

Mes années scolaires étaient les meilleures surtout la faculté, c’est à ce moment-là que j’ai rencontré toute ma bande d’amis, une bande soudée et inséparable. Nous étions une bande de sept personnes, deux filles et cinq garçons. Parmi eux, il y avait mon meilleur ami que je connais depuis la primaire. Un homme que mon cœur bat la chamade pour lui, sauf que je ne lui ai jamais avoué mon amour de peur de casser notre relation. Une relation en béton, une relation basée sur la confiance et loyauté, tout comme les autres membres du groupe. Nous faisons toujours les quatre cent coups ensemble, passons la majorité du temps ensemble et n’en parlons pas des fêtes et soirées chili. Deux membres ont dû quitter la ville pour suivre leurs parents, mais le contact est toujours présent. Néanmoins, ils sont revenus quelques années nous rejoindre ne pouvant pas supporter la distance. Nous étions une famille et personne ne pouvait nous séparer quoi qu’il puisse arriver. Nous avions tous un rôle dans le groupe, je suis la maman du groupe toujours à surprotéger chaque personne ou préparer des petits gâteaux.

Dès le moment que je pouvais partir de la maison, j’ai pris une chambre universitaire durant mes deux années à la fac pour éviter mon père. La relation avec mon père n’existe pas et j’en ai jamais eu, il préfère ses trois derniers enfants. Cela saute aux yeux et cela ne déplaît pas à la sorcière qui est toujours coller à lui. Néanmoins, le week end, je devais rentrais à la maison pour être présente lors de nos repas de famille, ce n’est pas ma tasse de thé. Disons que je profite plus de mes sœurs et mon frère que des grands. Les années passent où que je décide de changer de filière en faisant des stages en parallèle des études. Les stages me permettent d’approfondir mon apprentissage et aussi mettre en œuvre mes connaissances. Je n’ai aucun problème avec les enfants de ma belle-mère, je les ai toute de suite acceptées au point de m’en occuper principalement après chaque accouchement. Erika était incapable de s’en occuper que j’ai pris la relève sauf lors de l’allaitement, bien entendu. Aucun remerciement, mais ce n’est pas ce que j’attendais d’elle de toute manière. J’ai une relation assez spéciale avec chacune des filles, très fusionnel avec le garçon.

Ma vie était plus au moins correct, j’avais mon indépendance et mon projet de mes rêves, hormis celui de danseuse étoiles. Oui, durant mon enfance, je voulais faire de la danse classique et contemporaine, malheureusement, je n’ai pas le droit de pratiquer de sport et ni même trop me fatiguer. Tout cela à cause de mes problèmes de santé, un problème à cause de la grossesse à risque, j’ai eu des complications à naissance. Un problème cardiaque, depuis je suis dispensé des cours de sport. Interdiction obligatoirement sans broncher au risque de finir à terre et à l’hôpital. Cela ne me handicape pas dans ma vie de tous les jours, juste fatiguant parfois lors de grosse journée. Ce jour-là, j’étais vraiment fatigué de mes grosses semaines de travail à rattraper le retard à cause des personnes malades. Mon père m’avait demandé de venir pour un repas de famille, un repas qui a finit en disputes. Tout cela à cause d’une demande de mariage, je ne voulais pas me marier et surtout pas avec quelqu’un que mon père aurait choisis. « - Tu n’as pas le choix, j’ai déjà accepté et vous allez vous fiancer dans pas très longtemps. » Sous ses dires, je lui offre un beau doigt d’honneur. Oui, je pouvais me montrer vulgaire par moments, il était hors de question que je me donne pour lui faire plaisir. C’était lors de mes vingt-sept ans, quelques mois plus tard après l’ouverture de mon entreprise, je n’avais pas la tête à m’encombrer d’un homme que je n’aime pas.

Une fois que l’entreprise fonctionner bien, lors de mes vingt-huit ans, suite à une grosse dispute avec mon père, j’ai pris le premier avion en direction l’Italie sans dire à quiconque mon départ. Ni même mon grand frère, j’en avais assez des disputes qu’il fallait que je voie autre chose et rien de tel que le pays de mes racines. Malgré que mon père n’est pas parfait, j’aime l’Italie. J’y suis resté deux ans sans donner de nouvelle à personne sauf mon grand frère que j’appelle régulièrement. On reste durant des heures au téléphone en parlant de tout et de rien, néanmoins, je sais pas mal de chose concernant les choses qu’il ne se souvient plus. Il était témoin du décès de notre mère et d’une femme. La mère de ma meilleure amie. Un décès aussi bizarre que celui de notre mère, mais je ne peux pas trop lui remuer le couteau dans la plaie pour ne pas le brusquer. Mon père a fait ses recherches, mais impossible de savoir sauf le fait que je me trouve en Italie. Il ne sait pas exactement dans quelle ville ou que j’ai posé les bagages. Il y a mon meilleur ami qui est venu me rejoindre huit mois après mon départ pour ne pas me laisser toute seule, on a fait le tour de l’Italie à la découverte de mes racines et heureusement que je parle couramment Italiens.

Notre retour avait fait scandale auprès de mon père et de mon oncle, qui n’était pas d’accord que je prenne des décisions aussi important moi-même. Mon oncle est quelqu’un que j’avais banni de ma vie depuis longtemps pour ce qu’il m’a fait vivre et endurer. Au jour d’aujourd’hui, il est prisonnier d’un cancer et pleure dans les bras de son pauvre frère aîné. Je lui avais un regard pour lui montrer que cela ne me toucher aucunement, je n’avais pas d’empathie ni pour lui ni pour mon père. Le retournement de situation fait beaucoup de dégâts, le mal qu’il a fait aux autres lui retombe dessus. C’est la volonté de Dieu et c’est son épreuve, qu’il s’estime heureux qu’il soit entouré de sa famille contrairement qui était seule au moment des faits. Les seules personnes heureuses de mon retour, ce sont mes frères et sœurs. Mon père m’attrape par le bras en me tirant dessus pour le suivre dans son bureau en claquant la porte derrière lui avant de me faire face en levant la main et de la claquer violemment sur mon visage. Mon visage tire tellement à cause de la paume de ta main, je pose automatiquement ma main sur mon visage en lui lançant un regard noir. « - Tu te crois chez qui à quitter le pays sans l’autorisation de ton père ! » Je le fixe un instant avant de lâcher un rire nerveux. Il croit que j’ai encore quinze ans pour me parler sur ce ton, sérieusement. « - Je n’ai plus besoin de ton autorisation à ce que je sache, j’ai bientôt trente ans. Ton autorisation n’est plus à avoir depuis beurre lurette. » Sifflais-je en serrant les dents pour éviter de lui rendre la gifle. Oui, j’étais impulsif de nature, je ne me laisse plus faire depuis des années. Mais c’était peine perdue avec un con comme lui. « - Ton départ ne change rien à ce qu’on a parlé deux ans plus tôt. Oui, il t’attend encore pour se fiancer avec toi. » Ses paroles commencent à me mettre la haine ou que je soupire avant qu’on toque à la porte ou que mon père permet d’entrer aux couples. Fais chier. Mon futur prétendant était présent, accompagné par ses parents. Les présentations et salutations de fait, les parents me font des compliments ou que je leur offre un simple sourire. Je ne suis pas mal éduquer pour autant, mais l’union ne pouvait pas se faire. Mon cœur était déjà pris et hors de question qu’on me passe la bague au doigt. Je sors de la pièce en jetant un coup d’œil à l’homme en question, charmant.

Au jour d’aujourd’hui, je me dois de passer du temps avec cet homme afin d’apprendre à le connaître. D’après nos parents, l’amour viendra facilement. Laisse moi rire, ce n’est pas mon cas. L’amour est pour quelqu’un d’autre, pas pour lui. On ne choisit pas qui aimer. Depuis mon retour d’Italie, j’ai pris toutes mes affaires de chez mon père pour finir dans l’appartement de mon frère aîné. Je vis ma vie de mon côté malgré qu’il arrive encore à me manipuler concernant mon frère. Ma vie n’est pas du tout facile avec mes démons qui font surface de nouveau, je pense qu’il aurait mieux fait de poser les valises en Italie définitivement. Mais je ne suis pas lâche et affronte les choses en face. Je n’ai pas peur d’eux, je peux tout affronter sachant que mon frère est toujours derrière moi pour me protéger. Néanmoins, je passe souvent chez mon père pour voir mes sœurs et mon frère. Ma vie n’est qu’un tourbillon d’ennuis et de souffrance, mais un jour, cela ira beaucoup mieux. Dieu nous montrera le bon chemin vers la guérison. J’aime ma vie et ne la changerais pas au monde, j’ai un frère en or, des petites sœurs et un petit frère qui ont besoin de nous. Nous serons là pour les protéger de ces charlatans.



01 x Suite à un accouchement difficilement, j’ai eu des complications et depuis, j’ai une maladie au cœur. C’est pour cela que je vais souvent à des événements ou spectacles pour le plaisir des yeux. Depuis mon enfance, j’ai une montre qui calcule mon pouls à la minute. Je ne peux pas enlever ma montre puisque je dois y faire attention. C’est gênant, mais je m’y suis fait depuis un long moment. 02 x J’avais toujours rêver de devenir danseuse contemporaine/classique, mais un rêve qui ne se réalisera pas à cause de mon problème de santé. C’est pour cela que je vais souvent à des événements ou spectacles pour le plaisir des yeux. 03 x Je possède un tatouage sur l’une de mes côtes en hommage de ma mère, une phrase significative. « Vivre dans le cœur de ceux qui restent. La mort n’arrête pas l’amour. ». 04 x Je n’étais pas très douée en cuisine autant sucrée que saler, mais avec des stages durant mon temps libre, j’ai pu apprendre à faire des bons petits plats. A la maison, c’est moi qui suis de corvée de cuisine quand je finis plus tôt. Je sais faire pas mal de chose grâce à mon stage et j’ai pris goût à faire la cuisine donc j’apprends toujours des nouvelles recettes de tout genre : indiennes, française, africaines, polonais ou bien maghrébins. 05 x Je ne suis pas une patronne hautaine ou méchante, je sais me montrer stricte quand il le faut pour ne pas que mon entreprise coule, mais je suis très arrangeante avec mes salariés. Je suis très proche de chacun étant donné qu’on n’est pas beaucoup. 06 x Je ne suis pas difficile en terme de repas, néanmoins, il y a bien quelques légumes que je n’aime pas ou allergiques. Le navet, le radis, les endives en salades ne sont pas les choses que je raffole. Par contre, les endives braisées, j’en mange assez souvent. Les poireaux et les crevettes, j’en suis allergique, depuis petite, j’ai des calmants, mais je n’en mange pas tout court pour ne pas avoir des rougeurs sur le visage ou le corps. 07 x A cause de mon enfance, de ce que j’ai vécu, j’en garde des mauvais souvenirs que j’en fais des cauchemars nocturne. Il m’arrive donc souvent de crier en pleine nuit à cause des cauchemars que je fais, heureusement que je ne dors avec personne pour le moment. J’en souffre encore au jour d’aujourd’hui puisque j’ai subi des viols constamment durant plusieurs années. 08 x Je suis très anxieuse comme personne et cela m’arrive de faire des crises d’angoisse sans pouvoir les contrôler, c’est impressionnant surtout avec mes soucis de cœur. De ce fait, j’ai toujours des calmants à porter de main, mais ce n'est pas évident de savoir quand les prendre puisque je n’arrive pas à contrôler mes crises d’angoisse. 09 x Depuis un an et demi, je suis suivi par un psychologue pour essayer d’aller mieux, malheureusement, cela ne fonctionne pas sur moi. Sûrement à cause que mon père est psychologue également et qu’il me manipule afin de faire en sorte que mon frère ne se souvienne pas de ses années perdues. Le psychologue est devenu néanmoins un très bon ami étant très social envers les autres. 10 x Je mange de façon normale sans en faire des tonnes, je ne fais aucun régime et tout ce que je mange, aucun gramme en plus sur la balance le jour de la pèse. Je peux autant manger de la mauvaise bouffe que de la bonne bouffe, tout dépend des jours. 11 x Je suis très sereine en étant entourer de mon groupe d’amis, nous faisons beaucoup de soirée surtout les week-ends que ce soit dehors ou chez chacun d’entre nous. Le karaoké est notre deuxième maison après avoir passé deux ou trois heures dans un bar avant de nous défouler sur un micro. 12 x Je suis une grande fan de Michael Jackson malgré son décès, je connais tous les titres pratiquement par cœur. J’ai beaucoup de préférence niveau titre, mais Heal The World & Earth Song sont mes préférées pour leur parole, je les chante sous la douche, durant que je cuisine. C’est une grande histoire d’amour. 13 x Je suis une grand-mère avant l’âge, il m’arrive de me rendre dans des hospices pour personnes âgées et passer du temps en compagnies des résidents en les occupants avec des jeux société ou de cartes. C’est des moments d’échanges que je chéris beaucoup. 14 xJe ne suis pas du tout accro à la caféine, loin de moi. Je suis d’amour pour les thés et jus de fruits, je n’aime pas trop les boissons chaudes hormis les chocolats avec de la chantilly quand je suis gourmande. J’accompagne souvent mes boissons par une tartelette aux pommes aux amandes ou un donut's aux fruits rouges. 15 x Je ne supporte pas l’eau ni de père ni de loin, depuis la mort de ma mère, je suis traumatisé de l’eau et n’ose plus y mettre un pied dans une piscine ou à la mer. Lors des sorties avec mes potes, j’y vais avec eux, sauf que je reste dans les gradins ou sur une chaise pliante. 16 x Je tiens pas tellement l’alcool, je deviens une vraie loque quand je bois un verre de trop, c’est pour cela que je bois mais avec modération, mais je suis plus pour un cocktail avec peu d’alcool. Puis, je préfère de loin le champagne et le vin rouge que de la mauvaise qualité d’alcool. 17 x Je ne raconte pas ma vie et mes souffrances facilement, c’est très rare même. Il faut vraiment que j’aie une confiance aveugle envers la personne. Je ne suis sûrement pas prête à y faire face et c’est peut-être pour cela que je me cache derrière un masque et ne montre pas mes faiblesses, c’est être faible. Je pleure seulement sur les épaules de mon frère ou celui de mon meilleur ami.

pseudo, prénom x Spera/Sarah âge x 28 ans pays x France personnage x prédéfini comment nous as-tu connu ? x  un dernier mot x J'espère m'y plaire parmi vous et trouver ma place et beaucoup de liens ! Le forum est très beau, très doux et très chaleureux. Plein de bisous !
Tag hashtag sur shades of town PAZoQUWSujet: help, i need somebody, help
Minjun Park

Réponses: 15
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Rechercher dans: wipe your tears   Tag hashtag sur shades of town EmptySujet: help, i need somebody, help    Tag hashtag sur shades of town EmptyJeu 3 Sep - 19:29
Minjun Park
feat Kim Taehyungâge, naissance x écrire ici (âge, date et lieu de naissance...)

nationalité, origines x écrire ici

statut civil, orientation x écrire ici

occupation x (perfect storm) écrire ici

situation familiale x écrire ici

à philadelphie depuis x écrire ici
trait de caractèretrait de caractèretrait de caractèretrait de caractèretrait de caractèretrait de caractère
Hello darkness, my old friend. I've come to talk with you again.Minimum 20 lignes au total pour cette partie mais pas obligatoirement 10 anecdotes, ça peut être moins si vous respectez les 20 lignes. (merci de supprimer ce message après lecture)
01 x écrire ici

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03 x écrire ici

04 x écrire ici

05 x écrire ici

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09 x écrire ici

10 x écrire ici
pseudo, prénom x Euphoria & Marianne âge x Secret pays x du nord personnage x inventé comment nous as-tu connu ? x Discord un dernier mot x Vous avez l'air sympa!
Tag hashtag sur shades of town PAZoQUWSujet: this that hot girl bummer anthem. (alyson)
Alyson McBeth

Réponses: 16
Vues: 313

Rechercher dans: national anthem   Tag hashtag sur shades of town EmptySujet: this that hot girl bummer anthem. (alyson)    Tag hashtag sur shades of town EmptyLun 31 Aoû - 14:14
alyson mcbeth
feat natalie dormer.âge, naissance x je suis née il y a déjà trente-six ans, j'ai l'impression que ça fait tellement plus longtemps. la vie passe vite, comme elle passe très lentement. je la déteste... de la première année à celle que je fête aujourd'hui.
trente-six ans, pour en paraître dix de moins. et pourtant, je déteste vieillir... une de mes plus grandes craintes. un premier décembre 1984.

nationalité, origines x je suis anglo-américaine, mais je suis née sur le territoire américain à washington dc. j'ai néanmoins la double nationalité.

statut civil, orientation x célibataire depuis toujours, je n'ai jamais connu les joies d'être en couple, sauf une fois... et non merci, je ne m'enfermerai plus jamais dans cette connerie où la liberté trouve étrangement ses limites. trop peu pour moi. hétérosexuelle, mais je ne dis pas non à la nouveauté et la surprise qui se glissent parfois sous les draps.

occupation x (moon dust) matriarche d'escort girls. je gère les filles, leurs portefeuilles, leurs clients, leur sécurité.
j'étais moi même escort girl, maintenant je suis prisée par les hommes extrêmement riches, sinon rien. j'ai un pourcentage sur ce que gagnent mes filles.
son pseudonyme : lady marmelade.

situation familiale x ma famille est éclatée en mille morceaux suite à une histoire des plus sordides... seul mon grand-frère est en contact avec moi. et il vit à londres, au royaume uni.

à philadelphie depuis x un mois, à peine.
froidehautainefaussehypocritedurefragile
Hello darkness, my old friend. I've come to talk with you again.
01 x alyson est né le premier décembre 1984, premier jour de neige sur washington dc. cadette d'une fratrie de deux enfants, le premier enfant étant son frère ainée, dont elle sera excessivement proche.
ses parents n'en attendaient pas moins, ils sont jeunes mais ils sont si heureux d'avoir une gamine. avec ses grands yeux bleus, et ses petits cheveux blonds à la limite du blanc. c'est un petit ange qui risque de porter bonheur à cette famille.
famille qui se nomme nelson.

02 x alyson vit une enfance somme toute normal, de ses premiers pas à son premier mot, sa première compote à son vrai premier repas.
elle est très angélique, aime le monde. elle est d'une naïveté et d'une douceur qui attendrit quiconque la croise. c'est une phénomène, elle aime tout le monde, adore offrir, toucher, parler.
mais celui qu'elle aime le plus embêter, c'est son grand frère. elle l'adore. il est déjà tout pour elle, de son exemple à son protecteur. il l'aide à s'épanouir, et ils passent beaucoup de temps dans le jardin, dans la cabane de l'arbre.

03 x mais le bonheur est de courte durée. quand alyson fête ses neuf ans, son père perd son travail.
la famille se retrouve très vite endettée. la mère de famille n'a pas les moyens de subvenir aux besoins de tout le monde, et les soirées à rire se transforment en crises familiales.
les cris fusent, les insultes avec... et l'alcool vient trouver naturellement sa place dans ce problème.
l'argent sale commence à faire son entrée, l'allure de sa mère change. visage fermé, plus aucun amour ne transparaît sur son visage. il lui fallait un coupable, et il est tout trouvé : alyson.
c'est le fait d'avoir un deuxième enfant qui les prive. le fait qu'elle existe, qu'elle demande de l'attention...
un soir où l'alcool coulait dans les veines de ses parents, alyson a le malheur de leur demander d'arrêter. elle pensait à bien, à leurs santés... et pour toute réponse, elle mange une claque, puis deux. puis un poing dans le ventre... et ça ne s'arrête que lorsqu'elle ne peut plus respirer tant la douleur l’accable, tant les larmes l'inondent.

04 x alyson trouve un refuge dans les études scolaires et reste la plupart du temps après l'école pour travailler dans les classes vides ou en soutien scolaire. elle aide les autres, et fait en sorte de passer le plus de temps avec ses copines. son grâal est quand elle dort chez l'une d'elle.
elle n'ose plus s'habiller légèrement, cache ses bleus et ses plaies.
son silence est une façon pour elle de gérer ce qu'il se passe chez elle, et la culpabilité s'est véritablement insinuer en elle.
son grand frère est également victime de violence, et il se met régulièrement entre alyson et ses parents, prenant davantage de coups.
alors elle étudie, jure de devenir avocate ou agent des services sociaux. sortir les enfants des familles comme la sienne.

05 x quand alyson fête ses seize ans, c'est une mauvaise nouvelle qui tombe. son grand frère est en âge de faire des études supérieures, et après avoir obtenu une bourse pour étudier à l'étranger... il a fui. laissant alyson à la merci de deux alcooliques.
et si l'on pensait que le départ d'un des enfants allégeraient les charges, cela était sans compter sur l'addiction, la haine... alyson ne pouvait rien faire, ils la détestaient. la considéraient comme une sorcière, un chat noir.
et quoi qu'elle ait pu faire pour aider : travailler le soir dans une supérette, livrer le journal le matin ou travailler dans une station service pendant les vacances... donner l'argent ne suffit pas.
elle reste le bouc-émissaire.
seule face au monde.

06 x quand elle a dix-huit ans, son père organise de plus en plus souvent des tournois de poker. il a réussi à obtenir un niveau suffisant pour miser de l'argent et en gagner assez pour subvenir.
alyson mange à sa fin, mais ne se permet aucun extra. elle est belle, populaire au lycée grâce à son minois qui rend sa mère jalouse.
jalouse, mais sans qu'aly comprenne. passant dans les couloirs en maudissant la cellulite qu'elle pourrait avoir sur les jambes, répétant sans cesse que sa fille était bien laide.
alyson ne s'en formalise pas vraiment.
un soir où le poker semble agité le monde de l'étage du dessous, alyson regarde une vidéo sur son téléphone en mangeant des chips dans son lit. des cris résonnent dans l'escalier. « c'est ma fille ! » alyson sent le danger et pose son téléphone, tremblante en regardant sa porte fermée. un homme entre dans la chambre de la gamine, le regard en feu, les joues rougies par l'alcool. le regard de son père lui semble être presque désolé. presque.
plusieurs hommes entrent, et le seul message qu'elle arrive à envoyer, c'est : help. à son grand-frère qui devait venir la voir dans la soirée, atterri tout fraichement à washington dc.
elle sent son téléphone vibrer sous les nombreux appels qui restent sans réponse.
les hommes lui arrachent le haut, tire le jean sur ses hanches alors qu'elle se débat. le bol de chips vole dans la pièce, le téléphone tombe aux pieds du lit et les larmes glissent sur ses joues pâles de peur. la pitié n'a pas de valeur à leurs yeux. « t'as perdu, richard ! elle est à nous maintenant. »
sa sexualité jouée sur la table. « vierge t'as dit, hein ? » la panique qui vient bousculer ses mots qui restent coincés dans la gorge.  
à demi-nue, des coups de feu tintent à l'étage, les sirènes de la police s'engouffre dans le silence que les balles ont instaurés, les policiers ont les armes braqués sur les hommes qui lâchent l'enfant qui tombe à genou, bras qui tentent de couvrir sa peau dévêtue.
grand frère qui bouscule tout le monde, pose sa veste sur les épaules de sa soeur et la serre si fort qu'elle lui pardonne l'abandon dans l'instant.

07 x alyson suit les conseils de la police et porte plainte contre les hommes mais aussi contre son père.
l'affaire est relayée par les médias et la famille subit la pression, la mère de famille est jugée, rejetée. et bien évidemment, tout ceci n'est pas de sa faute... mais toujours celle d'alyson.
son grand frère reste avec elle tout le long du procès où ils obtiennent respectivement plusieurs années de prison ferme. son père également.
les médias vont encore se réjouir de cette soit disant justice avant qu'elle ne calme les buzz pour s'intéresser à d'autres histoires aussi sordides.
alyson est fatiguée moralement.
et de retour du procès, ses affaires sont sur le pas de la porte. en vrac, jetés. la porte est verrouillée et sa clef ne l'ouvre pas.
c'est donc officiel, la famille nelson a éclaté en mille morceaux. et elle s'en veut... terriblement, malgré toute l'injustice dont elle a été victime.

08 x elle vit à l'hôtel avec son grand frère et fait une demande d'émancipation, change de nom pour celui de mcbeth. le nom de jeune fille méconnu de leur grand mère décédée peu de temps après la naissance d'alyson.
son grand frère se porte garant de responsabilité avant qu'ils n'obtiennent un visa d'étude pour alyson. ils s'envolent alors vers le royaume uni où une nouvelle vie les attend.
son grand frère se sent foncièrement coupable de tout, surtout après son départ. il pensait qu'une fois parti, cela arrangerait un peu les choses, non pas les empirerait.
alyson ne lui en tient absolument pas rigueur. elle est trop troublée entre le bien et le mal... ce qu'elle doit pardonner ou ne pas pardonner. elle n'arrive pas à gérer ce traumatisme qui prendra de plus en plus de place dans sa vie.

09 x alyson reprend le lycée au secondaire, elle vit dans le studio de son grand frère, dormant dans le canapé lit mais elle ne se plaint pas. les coups n'existent plus, et les rires reviennent aux repas de famille. évidemment, son frère sort souvent donc elle se retrouve souvent seule mais ça lui va très bien comme ça.
elle obtient son diplôme, et travaille en accueil d'un hôtel dans la même rue que leur appartement. elle obtient une bourse pour oxford, premier choix dans ses demandes d'études supérieures.
qu'est-ce qui pourrait mal tourner maintenant ?

10 x alyson a de plus en plus de mal à se lier aux autres. se refermant comme une huître sans comprendre vraiment pourquoi. elle devient sèche, froide... ne se confie pas. la confiance disparaît.
et quand elle sort avec un garçon, elle refuse catégoriquement qu'il la touche. à peine les lèvres qui frôlent les siennes lui suscite un dégout sans précédent.
elle fait sa première fois sans rien ressentir. aucune émotion, aucune alchimie... aucun désir. juste du dégout.
elle abandonne ses études, n'arrive plus à se donner à 100%. quand elle perd sa bourse, elle s'excuse auprès de son frère qui essaie de comprendre... et après une énième dispute, alyson retourne aux usa sans prévenir.
disparait dans la nature.

11 x n'ayant pas vraiment de base de vie, alyson se perd rapidement aux usa. elle atterrit à washington dc sans savoir où aller, sans savoir quoi faire.
instinctivement, elle retourne devant chez elle, cette maison qui l'a vue grandir, qui l'a changée... il n'y a pas de lumière et un panneau vendu est planté dans le gazon devant la maison.
sa vie est terminée.
elle erre la nuit, s'approche d'un pont au district de colombia où l'eau de la potomac s'écoule doucement. elle abandonne son bagage et saute...
saute pour mourir, saute pour ne plus jamais ressentir cette douleur atroce.

12 x elle se réveille à l'hôpital de washington sans vraiment comprendre où elle est et ce qu'il s'est passé.
les infirmiers se succèdent sans lui accorder de l'importance avant que l'un d'eux ne se rendent compte qu'elle est réveillée.
ils lui racontent son périple dans le potomac et du secours d'un vieil homme un peu saoul.
sauvée par un alcoolo, drôle d'ironie.
elle y passe deux jours et quand la facture lui tombe sous le nez, alyson est perdue. elle n'a pas cet argent, n'a pas les moyens de payer quoi que ce soit... elle n'a pas d'assurance, n'a pas de toit...
et c'est son voisin de chambre qui lui donne un tuyau. une carte de visite toute simple.
elle se rend à l'adresse, elle n'a plus rien à perdre à ce stade.
enrôlée dans le rôle d'une prostituée, alyson rembourse rapidement ses dettes et trouve même un petit toit. pas le grand luxe, mais suffisant pour payer ses factures.
heureuse de s'en sortir, alyson trouve ce moyen de gagner sa vie bien plus aisée. elle se fait appelé lady marmelade, pour son côté british chic.
elle fait la rencontre de son voisin : wyatt, à l'âme torturée qui semble vouloir autant mourir qu'elle.
pour une raison qu'elle ignore, elle s'en rapproche... lui offre des nuits dans son lit ou dans le sien, ne s'offre pas davantage. elle aime juste voir qu'une âme aussi noire que la sienne puisse vivre autant de douleur qu'elle.

13 x trente années viennent de passer comme un claquement de doigt, et pourtant, elle a vécu dix vies en une.
elle devient de plus en plus importante dans le réseau, quitte la branche de la prostitution assez rapidement pour devenir escort girls. elle aime les atours, les cadeaux et paraître riche, elle qui a toujours été pauvre - l'est toujours, en soi.
matriarche sur le sol de boston, elle s'occupe des filles et de leurs clients, portefeuille. les forme parfois, pour les plus nouvelles. elle leur donne des conseils. mais elle refuse l'acte sexuel non protégé et encore plus forcé.
elle sécurise ses gamines, et surtout elle est ultra maternelle.
si elle déteste le monde dans son entièreté, il y a une part d'elle qui le protège encore des vices de la société.

14 x après des années à gérer comme une cheffe, alyson est assez riche pour s'offrir des meubles, vêtements de luxe et d'autres atours qu'elle adore. ne se déplace jamais sans talons, les cheveux parfaitement coiffés, le maquillage carré. une alyson froide et austère qui laisse pourtant la minauderie parler pour elle.
hypocrite, la tigresse.
et c'est un soir d'octobre qu'elle devient la cible d'un couple très riche. l'homme insiste pour offrir la présence d'alyson à sa femme.
les choses tournent très vite, et le sexe s'insinue dans cette relation étrange. alyson s'embrase, elle qui aime les jeunes gens et leur jalouse la jeunesse éternelle, l'innocence dont on l'a privé.
une consigne : ne pas toucher à l'homme qui observe... mais elle est gourmande, la trentenaire. trop. se croit reine du monde, s'approprie les lèvres de l'homme, reçoit pas moins de quatre à cinq coups de couteau dans le dos et meurt dans son sang.
transportée dans une ruelle où elle se laisse mourir, le sourire ensanglantée. la pire mort mais aussi la plus vraie.
pardon wyatt... de ne pas t'avoir dit combien je t'aime.

15 x les médias relatent une fausse information : alyson mcbeth est décédée dans la nuit du 30 octobre 2019.
la voisine n'est plus, la voisine ne reviendra plus. elle est morte, paraît-il. mais que deviendra celui qui voyait passer les hommes dans l'appartement d'alyson ? que dira-t-il ?
que fera-t-il après tout ça ?

16 x wyatt où l'homme qui a réussi à faire battre un tant soit peu le cœur de la trentenaire. elle qui maudissait l'amour, le rejetait sans plus de valeur. qui tombe dans la relation étrange qui lui offraient les nuits sans lendemain de wyatt.
mais qu'est-ce qu'une nuit quand on recommence quasiment tous les soirs ? chaque fois qu'un homme quittait l'appartement d'alyson, wyatt ouvrait la porte et alyson attendait les bras croisés sur le chambranle de sa porte, en petite tenue. l'ennui de la soirée et la promesse de finir dans ses bras l'aidaient à combattre ses démons.
et elle tombait amoureuse, sans s'en rendre compte.
et les premiers mots qu'elle a pu dire sur le lit de sa mort c'est je t'aime, à l'homme qui n'était même pas là.
trouvée à temps, une seconde fois, alyson est transportée à l'hôpital où la mafia pour laquelle elle travaille masque le crime.
deux meurtres à leur effectif. les deux jeunes gens dans la tombe... et alyson destinée à un nouveau monde.
loin de wyatt.

17 x elle est envoyée à philadelphie en août 2020, après avoir repris du poil de la bête que ses blessures se sont cicatrisées. après qu'elle ait pu ranger sa haine et tuer l'amour qu'elle avait pour wyatt.
transporter par la mort, devenue haineuse plus que jamais. elle est dure, et en même temps extrêmement fragile.
ses humeurs ont leurs réputations, et les filles qu'elle gèr ne se frottent pas à elle.
entre son traumatisme d'enfance et la perte de son amour, cet espoir dans cet amas de ténèbres, elle se laisse carrément bercer par les bras de la dame drapée de noir, laisse les doigts de la fin l'étrangler chaque jour un peu plus... jusqu'à ce que la fin sonne vraiment son glas.

18 x mais en emménageant, quand elle quitte son appartement nouvellement acquis, elle ouvre la porte sur un visage connu.
le sac qu'elle tenait en main tombe, se déverse dans le couloir, les yeux écarquillés, les larmes qui viennent nourir son visage d'ordinaire défait de toute émotion. le cœur qui manque d'exploser : « wyatt ? »
pseudo, prénom x spacefox. âge x 29 ans. pays x france. personnage x inventé comment nous as-tu connu ? x prd je crois, j'ai déjà oublié Tag hashtag sur shades of town 2756387938 un dernier mot x love u, les chats. Tag hashtag sur shades of town 1765616279
Tag hashtag sur shades of town PAZoQUWSujet: demain est un autre jour
Gillian Fabray

Réponses: 21
Vues: 337

Rechercher dans: wipe your tears   Tag hashtag sur shades of town EmptySujet: demain est un autre jour    Tag hashtag sur shades of town EmptyMar 25 Aoû - 21:44
Gillian Fabray
feat María Pedrazaâge, naissance x écrire ici (âge, date et lieu de naissance...)

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à philadelphie depuis x écrire ici
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pseudo, prénom x Tanya âge x 28 ans  pays x France  personnage x inventé comment nous as-tu connu ? x Pub rpg design  un dernier mot x le forum a l'air super cool et puis une bonne partie d'élite est présente
Tag hashtag sur shades of town PAZoQUWSujet: i only light up when cameras are flashin'
Bastian Tremblay

Réponses: 24
Vues: 286

Rechercher dans: national anthem   Tag hashtag sur shades of town EmptySujet: i only light up when cameras are flashin'    Tag hashtag sur shades of town EmptyVen 7 Aoû - 0:44
Bastian Tremblay
feat Rudy Pankowâge, naissance x j'ai montré ma tête il y a de ça 22 belles années, au début du printemps 1998, un 24 mars. il faisait beau et ensoleillé dans ce petit coin tranquille d'Harrisburg, laissant présager un bel avenir pour moi. la première impression est la bonne, comme on dit.

nationalité, origines x je suis un américain pur et dur, comme mes parents qui sont également né à Harrisburg. les origines remontent aux grands parents; les tremblay, mes grands-parents, sont arrivés aux Usa après la deuxième guerre mondiale. pour ce qui est de mon grand-père maternelle, ma mère m'a confié qu'il venait d'un petit village de Pologne, mais elle ne se souvient plus du nom.

statut civil, orientation x célibataire joueur, je profite de la vie avec les personnes sans mettre d'étiquettes, attiré par un physique et par un esprit, toutes filles ou femmes confondues.

occupation x (sweet dreams) étudiant de dernière année en commerce, je passe mon temps à jouer entre les cours et les entraînements de natation qui m'ont permis d'avoir une bourse universitaire. je donne également un coup de main à mon père en guise de " petit boulot ".

situation familiale x petite famille simple et tranquille vivant dans une belle maison de quartier. mes parents sont amoureux depuis plus de 20 ans et même si on est pas toujours très proche, je les adore. j'ai une petite sœur en dernière année de lycée, le diable en personne, avec ce petit coté ange qui peut prendre le dessus de temps en temps, heureusement.

à philadelphie depuis x quelque années maintenant. nous étions bien à Harrisburg, mais mon père avait besoin d'une grande ville pour pouvoir développer un minimum son business. Philadelphie est aujourd'hui devenue ma ville d'adoption, même si je n'oublie pas mes origines.
bosseurfêtardjovialmanipulateurpersévérantprétentieux
Hello darkness, my old friend. I've come to talk with you again.01 x Harrisburg, printemps 98. Je suis né d'un amour pur et profond, j'étais attendu par ces parents qui ne rêvaient que d'une chose, c'est de fonder une famille. Ils ne sont ni pauvres, ni riches. Elle est institutrice dans une école primaire et lui a fondé sa société d’ébénisterie qui ne marche pas trop mal. On a vécu quelques années dans la maison familiale, juste tous les trois et franchement, pour le peu dont je me souviens, on était bien. Puis ma sœur est arrivée et tout s'est agrandi. On formait, et d'ailleurs on forme encore, cette famille un peu clichée. Et même si je ne veux pas l'admettre, je ne l'échangerais pour rien au monde. 02 x Philadelphie a fini par devenir une évidence pour mon père, lui qui ne rêvait que de grande ville pour pouvoir agrandir le commerce, pour pouvoir subvenir encore plus à nos besoin. C'était l'occasion aussi, je devais avoir 6 ans et ma sœur 2, donc peu de souvenirs et rien à laisser derrière nous. De toutes façons, ce n'est pas comme si nous déménagions à l'autre bout du pays. Et quand j'y repense, quand je vois ce que la société est devenue aujourd'hui, je suis le premier à penser qu'il a pris la bonne décision. 03 x JO 2004, j'avais six ans. On s'était installé devant la télévision avec mon père tandis que ma mère s'occupait de mettre ma petite sœur au lit pour une sieste. C'était autour de la natation et un jeune Michael Phelps s'avance et s’apprête à plonger pour toute une nation. Je me souviens l'avoir admirer ces longues secondes, la bouche à moitié ouverte. Ce garçon était extraordinaire et j'ignore encore pourquoi, mais il m'a inspiré. J'aurais pu tombé amoureux de n'importe quel sport mais j'ai fini par craquer pour la natation. Une semaine plus tard, mes parents m'inscrivaient à des cours pour les enfants. C'était le début d'une nouvelle aventure. 04 x Nouvelle aventure que j'ai poursuivi au plus haut niveau ou, en tous cas, au plus haut niveau que je pouvais. Championnat d'états, nationaux, scolaires, la totale. La seule condition de mes parents pour que je continue sur cette voie, c'était d'avoir des bonnes notes. Pas des A partout, mais un minimum quand même. 05 x Je crois que c'est à ce moment là que ça a commencé, toute cette histoire de popularité. Je m’entraînais depuis longtemps ce qui fait que j'ai développé une certaine musculature et contrairement à la plupart des sportifs, je n'étais pas totalement idiot. A mon entrée au lycée, j'étais passé de ce gamin de la classe moyenne sans histoire au sportif ultra populaire qui a plein d'amis et de petites copines. Au début je n'y faisais pas trop attention, je voulais juste faire ce qu'on me demande et sortir de temps en temps. Mais au fur et à mesure des mois, certains diront que ça m'est monté à la tête. L'arrogance du sportif, la confiance de l'homme beau, cliché sur cliché. Et si je pensais pouvoir retomber les pieds sur terre, je dois admettre que de passer de l'anonymat à ça, c'est plus que plaisant. Comme une drogue, difficile de s'en passer. 06 x Ça m'a peut être rendu idiot tout ça, en fin de compte. Pas dans le sens débile où je suis devenu mauvais à l'école ou en natation, mais dans mon comportement en général. C'est comme si j'avais une double personnalité, une à la maison avec ma famille, un gamin plutôt calme et gentille puis il y a ce mec à l'école, arrogant et qui se croit au dessus de tout le monde. Pour tout dire, je n'emmène personne à la maison, légèrement honteux de ne pas faire partie de ces gosses avec une énorme maison et une piscine. Ils savent que j'ai une sœur mais je n'en parle pas spécialement. Je cache ma vie familiale, à la limite de la honte, parce que je ne ressemble pas aux autres sportifs populaires. 07 x A part une fille, une seule, que j'ai présenté à ma famille. On pourrait dire que j'ai eu ma première copine vers 14 ans, mais l'unique qui a compté, c'était quand j'en avais 17. Je me sentais bien, naturel avec elle, alors disons que je n'ai pas hésité une seconde. Tout s'est bien passé pendant quelques mois, elle a même compris pourquoi je tenais à séparer mes deux vies ... Enfin bref, c'était le paradis. Jusqu'à ce que j'apprenne qu'elle me trompait avec un mec dans une autre ville. Ce jour là j'ai décidé de faire de sa vie un enfer, parce qu'on ne prend pas Bastian pour un idiot. Elle a carrément fini par changer de ville et c'est ce jour là que j'ai décidé que je ne me caserais plus. Je profite de la vie avec qui veut, qu'elle ait 16 ans ou qu'elle en ait 30. Et c'est bien mieux comme ça. 08 x L'université, ça été toute une histoire à la maison. J'avais maman d'un coté qui tenait à ce que je fasse des études, tandis que mon père insistait sur le fait que ça ne servait à rien parce qu'au fond, il savait que j'allais reprendre son entreprise. Être ébéniste, ça ne me tentait pas spécialement et les études non plus. Mais je sentais que j'avais besoin de leur plaire pour pouvoir évoluer et me lancer dans les championnats universitaire. J'ai alors fait en sorte d'avoir une bourse sportive pour l'université et j'ai promis qu'en plus de mes études et entraînements, j'aiderais mon père dans son atelier. Gagnant gagnant pour tout le monde ... Ou presque. 09 x Le commerce n'est pas venu à moi avec évidence. Je cherchais désespérément une voie facile, une voie avec un diplôme mais sans que ça ne prenne le dessus sur la natation. Je pensais être un cas désespéré dans tous les sens du terme avant que ces études ne deviennent une évidence. Je pourrais reprendre le commerce de papa mais je pourrais surtout le moderniser et l'agrandir, le rendre à mon image et créer de l'emploi. La totale. Faire quelque chose à partir de ce qui a été créer mais seulement si je n'arrive pas à atteindre les JO. 10 x Il parait que la dernière année d'université est la meilleure et je vais faire en sorte qu'elle le soit. Mes résultats à la piscine sont plus qu'excellent et je me débrouille avec les cours. J'ai fabriqué ma première table tout seul et je fais la fête, encore et encore. Mais il me faut plus, il me faut un défi, quelque chose qui rende le tout inoubliable. Et quelque chose me dit que je l'ai trouvé, mon mont Everest, en la personne de la petite Nola. Je ne la connais pas, mais je la connaîtrais bientôt.
pseudo, prénom x worst / Charlotte (Cha) âge x 25 pays x Belgique Tag hashtag sur shades of town 65812849  personnage x inventé comment nous as-tu connu ? x Par facebook, si mes souvenirs sont bons Tag hashtag sur shades of town 296040592  un dernier mot x C'est un forum magnifique, je me réjouis de pouvoir jouer avec vous Tag hashtag sur shades of town 3721293158
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The Trouble Maker

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Rechercher dans: perfect illusion   Tag hashtag sur shades of town EmptySujet: PRÉSENTATION — formulaire.    Tag hashtag sur shades of town EmptyMar 23 Juin - 20:02
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