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 l'amour à la mer | moira


shades of town :: Philadelphie, USA :: around the world :: memories bruised
Gabe Colemanhors ligne x let me show you the way.Gabe Coleman


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name : SA.
faceclaim : henry cavill, (olympe.)
âge : 37 ans, l'océan à l'horizon mais aussi dans l'dos.
statut civil : marié à la plus belle des femmes, encore faut-il savoir la rattraper dans cette tempête.
occupation : ébéniste. Marin amputé par la vie.
habitation : appartement, dans le queen village.
disponibilités : au gré de mon emploi du temps.
nb de mots : entre 300 et 2000.
champ personnalisé : l'amour à la mer | moira Tumblr_psjt2lnvj61y7eb2fo9_400Dans les bras de Vénus, même l'amour est schizophrène.

my relationships
(♡) Moira - la femme d'une vie
(≈) Charlie - ancienne amie
(≈) Becks - collaboratrice
(♡) Victoria - rencontre au hasard
(≈) Andrew - uc

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(#) l'amour à la mer | moira
Dim 26 Juil - 5:55

l'amour   à la mer
L’obsession. Amère comme lorsqu’on boit la tasse. Parce qu’on a beau croire avoir évacuer ce qui coince, ça brûle, ça irradie là, dans le creux de la gorge. C’est oppressant, c’est épuisant, nullement déroutant, parce qu’on sait où on va, enfin c’est ce qu’on croit. Parce que toi, tu te rends pas compte à quel point tu vrilles Gabe, non, ça tu ne le vois pas. Aveuglé par ta déraison, aveuglé par tes ambitions. Tu veux le meilleur pour Moira, sans te rendre compte que le meilleur c’est toi. T’aspires à beaucoup de chose pour sa vie, les draps de satin, la douceur de votre foyer, l’espérance d’un petit vous à naître. Tu donnerais ta vie pour la sienne, pour voir son sourire dans le creux de ses joues. Pour entendre son rire comme le clairon du matin. Pour sentir son cœur battre contre tes oreilles. Chaque jour, chaque heure de chaque seconde. Moira, tu l’as dans le sang, dans tes tripes, elle possède le fin fond de ton âme, et pour elle, t’étais capable du meilleur comme du pire. Le pire était à venir. Elle était celle pour qui tu te saignais, celle pour qui tes mains étaient si abimées, celle pour qui tes réveils étaient si matinaux, celle pour qui tu étais prêt à braver la froideur de l’océan. Marin de carrière, tu te levais chaque matin aux aurores pour assumer de plus en plus de commande afin d’offrir à ta femme la plus belle des vies. Et tu ne lésinais pas sur tes efforts, pour la simple et bonne raison qu’elle méritait l’or et les diamants de ce monde. Tu n’étais qu’un petit marin, qui a la sueur de son front, la douleur de ses bras, s’évertuait à lui offrir le plus beau. Mais ce n’était jamais assez, à tes yeux, et tu savais qu’un jour tu trouverais l’Everest – ou les abysses – et que ce jour-là, enfin, vous pourrez être heureux. Pour de vrai.

Tu venais à peine de mettre le pied à terre, que demain, tu devras le remettre en mer. Une mission de quelques semaines, pour pêcher le meilleur du meilleur, au cœur d’un océan sans vergogne. Pourtant, ça faisait une semaine que tu n’avais pas vu ta femme, elle t’avais manqué à en crever. Mais ça t’empêchais pas d’imaginer repartir, parce que tu savais ce qui était bon pour vous – enfin ce que tu croyais être le meilleur. Tu voulais lui offrir ces meubles que tu gardais dans ton bureau à l’étage, pour ce bébé que tu voulais avec elle. Il ne manquait que la peinture d’or pour parfaire les sculptures. Une peinture si chère, qui te valait une mission supplémentaire pour qu’ils soient à sa hauteur : rayonnante. Tu gardais ce secret en toi, nourrissant l’espoir d’un horizon coloré en sa compagnie, et t’étais prêt à mille et une folie pour qu’enfin, elle et toi donniez la vie. Mais là, ce soir, t’avais qu’une envie c’était de la serrer contre toi, de l’aimer à en perdre le souffle. Alors tu saluais tes gars, et tu courrais en direction de votre maison, le cœur au bord des lèvres, le sourire au cœur de tes yeux cernés. Il ne manquait plus qu’elle pour qu’enfin tu respires à nouveau. Devant le pas de ta porte, tu distinguais l’odeur d’un repas élaboré, et tu savais qu’elle s’était plié en quatre pour que ton retour soit des plus doux. T’ouvrais la porte rapidement, et tu posais ton sac au sol, ne prenant même pas la peine de la refermer derrière toi. Tu la cherchais du regard, et quand tes yeux se posèrent sur sa beauté, tu t’approchais d’elle à pas rapide, comblant cette distance qui te morcelait de jour en jour. Tes mains vinrent à la rencontre de son visage, tes lèvres des siennes, et tu ne pus t’empêcher de l’embrasser avec amour. Puis délicatesse. Puis sensualité. T’avais besoin de presser son corps contre le tien, de la sentir sur les pores de ta peau salée. Besoin d’elle, tout simplement. T’eus le souffle court Gabe, tu l’aimais comme au premier jour, et tu savais qu’elle serait le crépuscule de ta vie. Tu riais, comme un gosse, sur ses lèvres.


« - Vous m’avez manqué Madame Coleman. Beaucoup plus que ce que vous croyez. »


Et tu noyais tes iris bleutés dans le chocolat des siennes, pour appuyer tes dires. Ton cœur à l’unisson avec le sien, sans aucun nuage à l’horizon. Trop aveuglé pour ne pas voir l’ouragan arriver.
the winds are changing and blowing at my face like a warning


Dernière édition par Gabe Coleman le Jeu 30 Juil - 6:03, édité 1 fois
Moïra Colemanhors ligne x let me show you the way.Moïra Coleman


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name : maë.
faceclaim : gal gadot. (@onelife.)
multinicks : willa.
âge : trente-cinq ans que la pomme est tombée de l’arbre à kostas.
statut civil : longtemps, elle s’est cru veuve, son mari ayant disparu dans les abysses de la mer; aujourd’hui, elle est mariée à un homme qui ne se rappelle même plus d’elle, la passion d’une nuit, voir d’une vie avec un homme qu’elle ne devrait pas aimer au creux de son ventre.
occupation : serveuse depuis qu’elle est en âge de travailler; depuis peu elle suit des cours du soir pour devenir agent immobilier sans en avoir parlé à personne, de peur de décevoir son entourage.
habitation : une petite maison sans prétention au 318, queen village.
disponibilités : mes dispo se feront en fonction de mon boulot.
couleur rp : j'écris en burlywood.
nb de mots : variable suivant les rps. (généralement entre 800 et 1800)
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(#) Re: l'amour à la mer | moira
Lun 27 Juil - 17:24

vague à l'âme.
Gabe & Moïra


Juin 2018.
Déambulant dans les rayons de l’épicerie familiale, un air sérieux sur le visage, Moïra était à la recherche de la meilleure bouteille de vin que ses parents pouvaient avoir. Ce soir n’était pas n’importe quel soir : après tout une semaine en mer, Gabe va enfin poser le pied à terre et rentrer à la maison. Une semaine, cela pouvait paraître peu et pourtant, ça paraissait presque une éternité pour elle. Moïra n’était pas habituée à voir partir son mari aussi longtemps. Oh bien sûr, lorsqu’elle l’a rencontré et qu’elle a su sa profession, elle était tout à fait consciente qu’il serait amené à faire de nombreux déplacements, mais pas à ce point. Ces derniers-temps, elle avait le sentiment d’être mariée à un courant d’air. Littéralement. Ses missions se faisaient de plus en plus longues et de plus en plus rapprochées et il n’hésitait même plus à accepter, sans même se demandait ce qu’en pensait Moïra. Alors au début, la jeune femme se disait que c’était un bon moyen de garder chacun leur indépendance et d’entretenir la flamme dans leur couple sans s’enfermer dans une routine qui pourrait être fatale pour eux. Et au fil du temps, ce fut l’effet inverse. Gabriel étant plus en mer que sur terre, elle se sentait terriblement seule. Mis à par leurs éternelles retrouvailles, ils ne faisaient plus rien ensemble, Gabe étant trop obnubilé par son boulot. Elle lâche finalement un profond soupir, tentant de chasser toutes ces pensées négatives de son esprit. Ce soir, elle ne voulait pas de mauvaises ondes, juste passer une agréable soirée avec son mari. Eux, rien qu’eux. « Celui-là sera parfait koritsi mou. » entend-t-elle alors qu’elle tourne la tête pour voir son père se tenir derrière elle, ses lèvres s’étirant en un sourire. « Bampas, tu es sûr? Je m’y connais pas vraiment, tu crois que ça lui plaira? » demande-t-elle, alors qu’Aris lâche un rire, amusée de voir sa fille ainsi. « Tout lui plaira venant de toi. Allez file ma chérie. » lance-t-il, ce qui eut le don de faire sourire Moïra. S’avançant vers lui, elle déposa un baiser sur sa joue avant de passer la porte du magasin.
(...) Moïra avait passé une bonne partie de l’après-midi à s’affairer en cuisine et lorsqu’elle daigna relever la tête, la nuit était déjà tombée. Entre temps, elle avait pris le soin de se rendre un peu présentable et avait même fait l’effort de mettre une jolie robe afin de lui faire plaisir. La porte finit par s’ouvrir et le coeur de Moïra tressaute en même temps que son corps tout entier. Elle pose les ustensiles qu’elle avait alors dans les mains pour prendre le chemin de l’entrée. Ses prunelles, finalement, se posent sur lui, et, l’espace d’un instant, elle a l’impression de rejouer la scène de leur première rencontre. Un sourire éclate sur ses lèvres alors qu’il arrive à la hâte vers elle, ne lui laissant même pas le temps de lui souhaiter la bienvenue qu’elle sent déjà son souffle tout contre elle et ses lèvres sur les siennes, aimantes, pressantes, envieuses de leurs jumelles, de quoi faire monter la fièvre à Moïra. C’est bien le seul point positif qu’elle trouvait au fait qu’il ne l’abandonne pour partir en mer : les retrouvailles n’en étaient que plus belles, plus passionnelles à chaque fois. Elle pousse un léger soupir d’aise alors qu’il rompt ce moment si intime, n’oubliant pas de lui rappeler à quelle point elle lui avait manqué. Un sourire au bord des lèvres, elle glisse à son tour ses doigts contre ses joues mal rasées, appréciant un instant la chaleur de son corps qu’elle n’avait pas pu toucher depuis une semaine.  « Attention, vous jouez à un jeu dangereux monsieur, mon mari va bientôt rentrer, il ne faudrait surtout pas qu’il vous trouve ici. » lui fait-elle remarquer, taquine. Son visage se rapprochant un peu plus de celui de son époux, elle y dépose plusieurs baisers sur l’arrête de sa mâchoire jusqu’à son oreille. « Toi aussi tu m’as manqué, mon amour... » fredonne-t-elle, avant de reculer en attrapant une de ses mains. « J’ai mis ma plus jolie robe, j’espère que l’effort est appréciable. » lui fait-elle remarquer, tournant sur elle-même du bout de ses doigts. Ne le lâchant pas d’une semelle, elle tire légèrement sur sa main afin de l’attirer dans le séjour. « Et j’espère aussi que tu as faim. » finit-elle par dire, montrant de son autre main la table dressée pour l’occasion, espérant que cela lui ferait sincèrement plaisir.
AVENGEDINCHAINS
@Gabe Coleman
 
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