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 baby, when you finally, get to love somebody. (nola)


shades of town :: Philadelphie, USA :: University City :: University campus
Bastian Tremblayhors ligne x let me show you the way.Bastian Tremblay


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âge : 22 belles années sont derrière moi, des années de bonheur et de malheurs tandis que le reste de ma vie m'attend en tendant les bras vers moi.
statut civil : célibataire joueur et profiteur. les femmes, les filles, je les veux toutes et je les aurais.
occupation : étudiant en commerce, dernière année, c'est plus une option car ma tête est littéralement occupée par la natation. un plan b quoi. et de temps en temps, je donne un coup de main à mon père dans son atelier. une vie bien occupée quoi.
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Dim 16 Aoû - 1:40


nola & bastian
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J’aurais voulu prolonger les vacances de quelques jours, mais le devoir m’appelait. Le réveil sonne à 7h alors que les rayons du soleil se sont déjà invité dans ma chambre, me brûlant légèrement la peau. Sans trop chipoter, de peur de changer d’avis, je me lève assez vite et fonce prendre une douche pour pouvoir me réveiller correctement. Merde, je pensais que je serais tranquille avec ma dernière année et me voilà, milieu du mois d’août, à devoir me rendre à l’université pour des cours préparatoires où je ne sais quoi. Le seul truc qui sauve ma journée, c’est mon entraînement de fin d’après midi. Je descends dans la cuisine, portée par une bonne odeur de pancakes. Ma mère avait l’air de m’attendre, vu qu’elle me saute au cou et m’enlace comme si elle ne m’avait pas vu depuis des jours. Ooooh, mon grand garçon. Je suis partagé entre le fait de rigoler et de la repousser. Je ne peux quand même m’empêcher de lever les yeux au ciel, j’ai toujours l’impression de rajeunir de dix ans dès que ma mère me parle, ou parle de moi. Ça va maman … Je rentre en dernière année, je suis encore loin du diplôme. Je l’enlace quand même, mais sans exagération. Je ne sais pas ce qui lui prend ce matin, mais c’est pire que d’habitude et le regard moqueur de ma sœur n’arrange rien à la situation. Je ne sais même pas pourquoi elle est debout de son coté, mais il est trop tôt pour se poser des questions. Je m’installe et déjeune tranquillement, jusqu’à ce que je doive partir en trombe de peur d’être à la bourre. Vivement que je rentre dans ma chambre, histoire d’éviter ce long trajet en voiture. Puis l’indépendance, faire ce qu’on veut, ça reste quand même l’idéal. Un an, plus qu’un an et je pourrais avoir un boulot et un appart. Un tout petit peu de patience.

Ces longues années dans l’enseignement vous ont aidés à forger votre personnalité, à affirmer vos différentes valeurs, notamment grâce aux différentes matières vues en cours. Je prendrais un exemple pour illustrer mes propos ... Lui aussi, semblait s’être mis dans la tête que nous étions déjà en fin d’année. Enfin, pour ce qui est du début, car la suite me passe complètement au dessus. Si au début je discutais simplement avec mon voisin, je finis par gribouiller des bêtises sur une feuille. On a commencé par le discours du directeur avant de se retrouver avec notre professeur principale qui nous a rappelé l’importance de la dernière année. On nous expliqua ensuite que si on nous avait fait venir aussi tôt dans l’année, ce n’était pas que pour des broutilles et quelques discours. Puis il commence à nous parler du projet de fin d’étude, un projet typique à la section des commerces avec un fonctionnement particulier. On allait monter tout un projet de société, seul, avec des plans et des fonctionnements et rassemblant tous les apprentissages de ces dernières années. J’ai eu un début d’inquiétude, me demandant si j’allais pouvoir gérer ça en plus du reste. J’ai un an pour préparer ce projet, mais j’ai également quelques mois pour encore profiter de ma jeunesse ou même quelques mois pour me préparer aux championnats nationaux. C’est le bordel, mais je suppose que je vais finir par gérer, comme à chaque fois. Le comment viendra au moment venu.

Nan mais arrête, je me demande encore pourquoi ils nous ont fait venir. Désespéré et fatigué, j’avais donné rdv à quelques potes dans un coin près de l’entrée pour me détendre un peu après une longue, très longue matinée. J’étais seul avec un des gars pour l’instant, mais un flot de paroles sort déjà de ma bouche. Sa réponse ne se fait pas attendre. Arrête, ne pense plus à ça, on s’en sortira. On va vivre une dernière année de malade. D’ailleurs en parlant de malade, comment ça va avec ta dernière conquête ? Toujours les mots pour remonter le moral, même si ça finit toujours par parler de sexe avec lui. Je réfléchis à sa question, à mes dernières filles, à la dernière fille dont je lui ai parlé. Tu parles de laquelle ? demandais-je en rigolant, histoire de me donner un peu de temps. Sauf qu’en fait, je m’en fou de passer pour un goujat avec lui, il est bien pire que moi. Celle avec un nom bizarre. Il ne m’aide pas des masses avec ses indices, mais je finis par comprendre de qui il parle. Je regarde ailleurs, soupirant de fatigue rien qu’en repensant à la brune. Elle me saoule à un point, je te jure. Cette fille, c’est une vraie prise de tête. Des crises et des parties de jambe en l’air qui ne finisse pas pour telle ou telle raion. Enfin, ce n’est pas la pire mais bon, ce n’est pas ce que je recherche dans mes relations avec la gente féminine. Heureusement, il arrive avec l’idée du siècle, un petit jeu sympa qui me changera les idées. Alors change de tête ! Prends toi un nouveau challenge genre … Cette fille ! On est dans quelques cours ensemble et je te jure, c’est un vrai challenge. Si t’y arrive … T’as le droit de me demander ce que tu veux. Mais prépare toi à l’humiliation dans le cas contraire. Mon sourire s’élargit, le sien aussi. C’était le moyen pour bien commencer l’année, pour laisser une trace spéciale dans cette université. Puis je ne dis jamais non à une petite partie, surtout quand la récompense était aussi alléchante. Par contre, je ne préfère pas penser aux conséquences de mon échec. Il n’y aura pas d’échec de toutes façons. Challenge accepted ! finis-je par dire, serrant nos mains en guise de contrat.

Je décide de jouer la carte maladroite, j’ai peur que la directe ne lui fasse peur et ne la fasse fuir. Je me redresse de mon petit muret, arrange ma tenue et mes cheveux, puis je m’avance avec confiance. Je décide de sortir mon téléphone pour rendre l’approche crédible. J’appuie sur quelques touches en m’approchant encore plus et finit par la bousculer. Je ne suis pas le meilleur acteur au monde, mais je suis assez fier de moi sur ce coup. Je m’abaisse pour l’aider à ramasser ses affaires mais aussi mon sac à dos, que j’avais laissé filé au passage. Oh, excuse moi, je suis maladroit. J’étouffe un petit rire, ça ne me ressemble pas du tout. Nola, jolie Nola. Je ne la connais que de nom, cité une fois dans une conversation avec des amis ou dans une salle … En fait je ne sais plus, j’ai simplement une bonne mémoire au niveau des noms et des visages. Surtout quand ils sont aussi mignons. A se demander si ce pari en vaut vraiment la peine, j’ai l’impression que ça va être très facile. Tu crois que je peux me faire pardonner avec un café ? demandais-je, faussement gêné, alors que nous nous relevons. Je frotte mes deux mains, attendant impatiemment une réponse. Je finis par faire les présentations, parce que je n’ai pas l’impression qu’elle soit des plus réactives. On dirait qu’elle est plus intéressée par ce qu’elle a dans les bras plutot que par ce que je raconte. Et ça a le don de m’irriter. Au fait, je m’appelle Bastian. finis-je par dire, tendant une main dans sa direction.


AVENGEDINCHAINS


@Nola Sanders
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âge : vingt-deux ans, la petite poupée grandit mais continue à se bercer d'illusions, la candeur ne s'estompe pas malgré quelques déceptions.
statut civil : célibataire, quelques histoires éphémères à déplorer. pourtant, elle croit en l'amour, celui avec une belle lettre majuscule au début.
occupation : étudiante en journalisme. un rêve qui s'est accompli, une revanche sur ses circonstances. cette bourse lui a permis de quitter sa campagne profonde pour une nouvelle vie. mais elle est aussi serveuse dans une pizzeria pour arrondir ses fin de mois.
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Dim 16 Aoû - 17:58

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Le soleil brille haut dans le ciel. C’est encore l’été à Philadelphie. Et pourtant, Nola a déjà repris le chemin de la faculté, signant pour les cours préparatoires de la dernière quinzaine d’août. Pour sa dernière année, elle ne voulait rien laisser au hasard. Elle voulait son diplôme plus que tout. Histoire de terminer par une réussite et non une énième déception…  Et pourtant, elle a un peu de vague à l’âme quand elle s’engage sur le campus. Encore et toujours, la solitude lui pèse. Ce matin personne ne l’avait attendue avec un copieux petit-déjeuner pour lui souhaiter bonne chance pour sa rentrée. Elle n’avait pas non plus d’amis à retrouver. C’est donc seule qu’elle traverse la pelouse du campus pour rejoindre son cours de sciences politiques. Son esprit vagabonde, elle s’évade quelques instants dans ses rêveries dont elle a le secret… C’est suffisant pour provoquer une catastrophe. Elle heurte en effet quelqu’un, dans une collision aussi soudaine que brutale. Les livres qu’elle tient entre ses bras s’envolent, allant s’éparpiller sur le sol tandis qu’elle chancelle et lutte pour retrouver son équilibre. Parfait… On allait encore se moquer d’elle parce qu’elle était incapable de regarder où elle allait… « Oh, excuse moi, je suis maladroit. » Surprise, elle relève la tête, découvrant l’identité de celui qu’elle avait percuté. Et elle manque de s’étouffer. Bastian Trembley. Juste un des garçons les plus populaires du campus.

Il lâche un petit rire, beau comme un dieu, le soleil brillant dans ses cheveux blonds. La surprise, le choc, et cette vision, c’est trop pour Nola qui s’empourpre et se met à bégayer tandis que sa timidité naturelle la rattrape. « Non… euh… c’est moi. Qui suis désolée… Je ne regardais pas devant moi. Ton portable n’a rien ? » Elle se mord la lèvre, se sentant comme la dernière des idiotes. Elle se baisse, histoire de ramasser ses affaires et surtout de se redonner un peu de contenance mais il suit son mouvement et ils se retrouvent face à face, près du sol. Bastian continue de l’éblouir et c’est à peine si elle entend les mots qu’il prononce ensuite. « Tu crois que je peux me faire pardonner avec un café ? » Bêtement, la Sanders regarde autour d’elle, comme s’il s’adressait à quelqu’un d’autre qu’elle. Mais il y a personne autour d’eux. Et puis, il faut qu’elle arrête de le dévisager comme ça. Vraiment. Elle s’absorbe donc dans le rangement de ses livres qu’elle reclasse machinalement tandis qu’ils se redressent. Qu’est-ce qu’elle était sensée répondre ? Ce n’était juste pas possible qu’un gars comme lui veule aller boire un café avec une fille comme elle. Elle avait dû mal comprendre… « Au fait, je m’appelle Bastian. » Dit-il en tendant la main, avec un petit  sourire. Toujours aussi troublée, elle s’en empare timidement. « Je sa… Nola. Moi, c’est Nola. » Elle se rattrape juste à temps pour ne pas être trop creepy, pour ne pas avouer qu’elle connaissait beaucoup de lui alors que lui devait la remarquer pour la première fois. Juste parce que le hasard les avait mis sur la même trajectoire. Elle relâche sa main. « Ne te sens pas obligé pour le café… Il n’y a rien à pardonner… Et j’ai mon cours qui commence bientôt…. » Elle était bonne à se donner des claques. Elle qui voulait désespérément des amis, elle refusait pourtant cette opportunité… Mais elle avait été prise au dépourvue.
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Dim 23 Aoû - 1:01


nola & bastian
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Le pari n’est sûrement pas la chose la plus charmante que je pourrais faire, mais le jeu et la victoire en vaut la chandelle. Elle est plutot mignonne la fille, je m’en rends compte en la bousculant et en la voyant de plus près. Bon, le style vestimentaire est particulier et très franchement, j’aurais bien envie de lui dire d’aller refaire sa frange, mais ce serait bizarre. J’ai du la bousculer un peu trop fort parce que ses livres s’étalent littéralement partout. Je rigole, amusé par ce coup réussi et cette fausse maladresse. Je l’aide à ramasser ses affaires et je prends le téléphone. Il n’a pas grand-chose. Je m’excuse de l’avoir bousculé mais la brune prend tous les tords, persuadée qu’elle ne regardait juste pas devant elle. Gentille comme tout, elle me demande si tout va bien de mon coté. Ce truc là ? dis-je en levant ma brique. Il me faut une demi seconde pour oublier cette lèvre qu’elle mordille je ne sais pour quoi. Même s’il a quelque chose, ce que je n’ai pas vérifié, je ne pourrais m’en prendre qu’à moi même. Elle a de jolis yeux aussi, il est assez facile de s’y perdre. Oh non, ne te tracasse pas, il est dur comme le roc. ajoutais-je, toujours aussi souriant. Je frappe même dessus, histoire de lui prouver. Je ne fais pas partie de ces jeunes qui ont les derniers modèles de portable, le must du must tout fin qui se brise dès qu’il tombe par terre. J’ai mon vieux modèle, un truc qui tient la route, une petite technologie qui me permet de faire le minimum, comme les jeunes. Enfin, j’essaie de ne pas perdre trop de temps avec du blabla inutile et fais directement les présentations, alors qu’elle ne répond à pas grand-chose de ce que j’ai dit et je me présente, lui tendant la main. Nola. Très joli prénom. C’est vrai, puis je trouve qu’il lui va bien. Simple, beau et discret, ce qui semble aussi être une définition parfaite pour elle, en plus de son nom. Elle a la peau douce, c’est agréable au point que j’en oublie presque de la lâcher. Je l’invite à prendre un café, histoire de me faire pardonner. Et à mon plus grand étonnement, elle est en train de refuser. Je ne me sens ... Obligé du tout, mais je n’ai pas le temps de terminer ma phrase que Nola parle de cours, ce qui me refroidi assez vite. C’est bien la première fois que je me retrouve sans savoir quoi dire.

Je la sens même en train de partir, à la limite de me tourner le dos. De me remballer. Je m’agace, et je suis admiratif. Bon, ok. murmurais-je, surtout pour moi. Jamais, on ne me remballe jamais. Ou en tous cas, pas depuis l’adolescence … Et encore, je suis sur que ce n’est arrivé qu’une seule fois. Une main posée sur son épaule, je me débrouille pour lui faire face. L’improvisation doit devenir une seconde peau sur ce coup là. Je vais t’avouer quelque chose, je ne crois pas au hasard. Je ne crois donc pas t’avoir bousculé juste comme ça. Quand on joue à ce jeu, on se sert des mots pour tourner les choses à notre avantage, mais il y a aussi des sentiments profonds qui ressortent toujours. Je fais partie de ces gens qui pensent que tout arrive pour une raison, que les surprises de la vie n’existe pas. Dans toutes ces filles qui passaient devant nous, Nola a été choisie pour être mon appât. Et l’explication finira par arriver, un peu plus tard. Cette fille semble être mon contraire, plutôt seule, discrète et n’aimant pas sortir de ses sentiers battus. Je pourrais insister sur mon offre, mais j’ai l’impression que tout ce que je vais faire, c’est l’effrayer encore plus. Une idée me vient alors. Alors je te propose un marché. Je lâche enfin son épaule, je suis visiblement des plus tactiles aujourd’hui. Un nouveau sourire, histoire de la mettre en confiance. Et un nouveau plongeon dans son joli regard. Tu me laisses t’offrir ce café et moi, je te laisse t’échapper à ton cours. finis-je par dire, tendant à nouveau la main, histoire de sceller notre accord. Je prie pour que ce coup marche, pour que je puisse enchaîner sans devoir me traîner, à la limite de me mettre à genoux. Ah la facilité, c’est tellement mieux … Et en même temps, si c’est ce que je cherchais, je ne me serais pas laissé entraîner là dedans.


AVENGEDINCHAINS


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(#) Re: baby, when you finally, get to love somebody. (nola)
Dim 23 Aoû - 19:14

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« Ce truc là ? Oh non, ne te tracasse pas, il est dur comme le roc. » Bastian soulève son téléphone devant les yeux de Nola et elle constate avec surprise qu’il ne s’agit pas d’un smartphone dernier cri, ce qu’on aurait pu pourtant logiquement attendre de la part d’un type branché comme lui. « Oh… Pour le coup, je veux bien te croire. » Dit-elle, regrettant de ne pas avoir plus d’esprit. Une fille plus cool qu’elle aurait sûrement répliqué un truc bien plus fin… Le truc c’est qu’il continue à sourire à pleines dents, lui faisant perdre ses moyens. Elle était déjà timide en temps ordinaire mais là, c’était pire que tout. Son cœur battait à la chamade, son esprit s’embrouillait, et elle se sentait comme la dernière des cruches. Pitié, pourvu qu’elle ne soit pas en train de rougir… « Nola. Très joli prénom. » Lui, en tout cas, ne fait rien pour améliorer son état. Ce compliment glissé l’air de rien d’une voix sexy, c’est presque trop pour les hormones de la Sanders. Elle bégaye presque. « Je… Merci. J’aime beaucoup Bastian aussi. » Mon dieu, qu’était-elle en train de faire ? Elle était en train de tout gâcher. Elle se montrait si insignifiante qu’il n’était pas près d’essayer de lui reparler… Elle est mortifiée et commence à penser à une solution de repli. Ou plus concrètement à une fuite. Elle parle de son cours qui va commencer, juste au moment où il lui parle d’aller boire un café, ce qui démontre à la brunette qu’elle est aussi douée pour lire les signes que pour mener une conversation. Bastian semble surpris, voir peiné par son refus. Elle commence à esquiver une sorte de demi-tour, impatiente de se retrouver seule pour se traiter de tous les noms. Mais la main du blond se pose soudain sur son épaule, et il est à nouveau en face d’elle.

De nouveau, elle subit le choc de son regard magnétique et bleuté, l’attaque de son charisme naturel tandis qu’elle ne pense qu’au contact de sa main sur son épaule. « Je vais t’avouer quelque chose, je ne crois pas au hasard. Je ne crois donc pas t’avoir bousculé juste comme ça. » Whaat ? Le charme se rompt. Elle était naïve mais pas totalement stupide. Cette phrase lui semblait tout droite sortie d’une mauvaise comédie romantique. Petit à petit, les facultés de raisonnement de la Sanders reviennent et elle se rappelle de la réputation de Mister Tremblay. Cela lui donne enfin une pointe d’audace. « Je parie que tu dis ça à toutes les filles que tu croises. » Elle est surprise d’entendre la déception dans sa voix et surprise d’avoir osé dire ça à voix haute. Bon pendant cinq minutes, elle s’était sentie spéciale, maintenant il fallait qu’elle redescende sur terre… « Je te propose un marché. Tu me laisses t’offrir ce café et moi, je te laisse t’échapper à ton cours. » Contre toute attente, il insiste, s’appuyant sur un nouveau sourire charmant. Nola s’attarde sur ce dernier, pour ne pas dire qu’elle fond devant, commençant à peser le pour et le contre. Après tout qu’est-ce qu’elle risquait avec un simple café ? « D’accord… Marché conclu. Je suis à l’amphi B et je termine à 15h. » Cède t-elle, craignant plus que tout d’arriver en retard. Elle est tellement happée par son regard qu’elle ne remarque pas la main qu’il lui avait tendue, lui mettant bien involontairement un second vent bien magistral. Trop tard, elle tourne déjà les talons. « A tout à l’heure. » Lance t-elle, pressant le pas pour arriver avant le professeur. Elle ne voulait pas se faire remarquer le premier jour. Elle ne lui avait même pas demandé si lui aussi aurait terminé, si ça lui allait. De toute façon, une part d’elle était convaincue que c’était une mauvaise blague, qu’il ne se pointerait pas. Et pourtant… Deux heures plus tard, lorsqu’elle sort de son cours magistral, elle ne peut s’empêcher de le chercher du regard à la sorrtie de l’amphi…  
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Dim 30 Aoû - 1:14


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Elle s’inquiète, c’est mignon. Et moi je ris, comme un idiot, me moquant de ce téléphone qui ressemble à rien par rapport aux technologies actuelles. Je pense avoir de quoi m’en racheter un, mais ce n’est pas vraiment une priorité actuellement. Eh, on ne se moque pas de ma brique. Je rigole joyeusement, profitant du moment pour la taquiner. Je fais les présentations, fais comme si je ne connaissais pas son nom et tends une main dans sa direction. Merci, c’est très gentil. ajoutais-je, souriant toujours. Puis j’enchaîne avec des discours philosophiques, lui faisant comprendre que je ne suis pas du genre à penser que les choses arrivent comme ça et que c’est pour ça que nous devons aller plus loin tous les deux. Pas à autant que ce que tu peux croire. Je joue carte sur table, décide de ne pas mentir. Je n’ai jamais dit ces mots exactement, simplement des choses qui y ressemblent. Et même si c’est pour jouer, attirer ou draguer, il y a une part de vérité derrière ces paroles ; rien n’arrive au hasard dans la vie, même si nous sommes parfois légèrement poussé dans la bonne direction. Et puis, pas pour les mêmes raisons. Ou peut être que si, dans le fond. Si mon but était simplement de pouvoir mettre cette fille dans mon lit, je me rends compte que c’est trop simple … Il faudrait que je la rende accro, comme je suis accro au mystère qui se lit dans son regard. J’essaie de la convaincre de me laisser lui offrir un café, mais je dois conclure un marché pour que la brune finisse par accepter. Ça marche, rdv à 15 heures alors. Je la regarde s’éloigner, pressante. Il semble que Nola fasse partie de ces intellos qui tiennent à être en classe à l’avance. Qui sait, elle fera peut être partie des ces major de promotion, faisant un discours et tout à la remise de diplôme. Enfin, j’apprécie la vue de derrière, retenant chacun des petits détails sur ses jolies formes. Pour le reste, j’aurais le temps de me poser des questions plus tard … Pendant mes rêves, par exemple. Un véritable défi, ça change ... finis-je par murmurer, surtout pour moi même. Une fille qui ne s’agenouille pas devant moi, me complimentant pour un rien. Une timide, un regard fuyant, une jolie fille bien enterrée. Je ne sais pas encore comment je vais m’y prendre exactement, mais je sais que ça finira par marcher. Et j’aurais gagné, comme à chaque fois. Plus qu’à attendre l’heure maintenant.

Je ne suis jamais en retard ou ça m’est arrivé très peu de fois. Mais je n’avais pas vu le temps passer et j’étais tombé sur la serveuse la plus lente de toute la ville. Heureusement que ce n’était pas loin, je n’avais donc pas à courir jusque l’amphi et à renverser la moitié du café. Je pouvais arriver avec classe, comme je suis en train de le faire, me glissant entre les gens dans la foule. Je l’aperçois un peu plus loin, en train de me chercher du regard. C’est un très bon signe pour quelqu’un qui cherchait juste à s’échapper quelques heures plus tôt. Je suis là ma jolie. criais-je presque, un sourire ravageur se dessinant sur mon visage. Je m’approche pour de bon et je me pose en face d’elle. Je bafouille quelques paroles. Je m’excuse, il y avait un de ces monde au café. Je me demande ce que ça va être ... Quand les cours auront recommencer pour de bon. Mais non, je m’arrête, parce que si mon excuse est assez bonne, je commence à ressembler à un type nerveux qui ne sait pas ce qu’il fait. Et je n’aime pas ça du tout. Je prends une profonde inspiration. Trêve de blabla. ajoutais-je en rigolant. Macchiato à la vanille, ça te convient ? Je lui tends son café, un air de satisfaction sur le visage. Je le sais, c’est tout. Je ne sais pas si je l’ai déjà entendue passer commande, je ne sais pas ce qui m’a mis dans cette direction mais je suis presque sure qu’elle appréciera. Les filles aiment les cafés sucrés et légers. On s’installe quelque part ? finis-je par lui demander, lui ouvrant la route d’un geste du bras. Je la suis jusqu’à un banc et on s’installe tranquillement. Je n’arrête pas de parler depuis tout à l’heure et si j’ai retenu quelque chose avec les années, c’est que les femmes savent écouter mais qu’elles aiment aussi être écoutées. J’espère qu’elle ne va pas nous laisser dans un blanc qui nous met mal à l’aise, mais seul l’avenir nous le dira.


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âge : vingt-deux ans, la petite poupée grandit mais continue à se bercer d'illusions, la candeur ne s'estompe pas malgré quelques déceptions.
statut civil : célibataire, quelques histoires éphémères à déplorer. pourtant, elle croit en l'amour, celui avec une belle lettre majuscule au début.
occupation : étudiante en journalisme. un rêve qui s'est accompli, une revanche sur ses circonstances. cette bourse lui a permis de quitter sa campagne profonde pour une nouvelle vie. mais elle est aussi serveuse dans une pizzeria pour arrondir ses fin de mois.
habitation : 89 logan square. avec sa colocataire.
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(#) Re: baby, when you finally, get to love somebody. (nola)
Lun 31 Aoû - 19:16

I wish I was special You're so fucking special
feat @bastian tremblay et @nola sanders

Pendant quelques secondes, Nola ne voit pas Bastian près de l’amphi et se dit qu’il ne viendra pas. Elle avait été victime d’une mauvaise blague de plus, voilà tout. Ça ne la surprend pas plus que ça. Elle savait que ses petits camarades aimaient rire à ses dépens. Non, ce qui la surprend, c’est d’être aussi déçue par la défection du jeune homme… « Je suis là, ma jolie. » Soudain, la voix du nageur fend la foule, tout comme sa silhouette athlétique, qui se meut avec grâce entre les étudiants agglutinés. Il vient vers elle, un large sourire sur le visage et des gobelets dans les mains. Elle se met à sourire aussi, vraiment contente de s’être plantée pour une fois. « Tu es là. » Répète t-elle, presque avec émerveillement, comme si elle avait besoin de se persuader de la réalité de la scène. Ils sont de nouveau face à face, et comme tout à l’heure, pour la Sanders, le reste du monde est éclipsé et tout à coup, c’est comme s’il n’y avait plus que le sourire de Bastian. Bastian qui s’excuse d’ailleurs d’avoir un peu tardé, lui expliquant qu’il y avait du monde au café. Nola est à nouveau surprise. Elle ne l’imaginait pas nerveux, et pourtant, il semble l’être. Peut-être qu’au fond, il était comme elle mais qu’il arrivait juste à mieux le cacher ? En tout cas, ça l’aide elle, à se détendre, à surmonter sa timidité naturelle et à se montrer un peu plus loquace avec lui. « Mais tu es tout pardonné… Une livraison comme ça, en direct, c’est royal. C’est adorable d’être déjà allé chercher le café. »

Elle avait en effet pensé qu’ils se retrouveraient pour aller prendre un café quelque part. Pas qu’il la traiterait comme une princesse en lui emmenant directement son breuvage. Il lui tend d’ailleurs un des deux gobelets qu’il tient en main, annonçant la couleur. Elle ouvre de grands yeux ronds. « C’est ma saveur préférée, comment tu as deviné ? » L’avait-il vue poser avec son gobelet sur Instagram ? Non, c’était invraisemblable, aucune chance qu’un gars aussi populaire puisse la stalker en secrets, il fallait qu’elle arrête de s’illusionner… « Merci en tout cas. Comme je te l’ai dit, tu n’étais pas obligé mais c’est gentil de l’avoir fait quand même. » Elle tient à le remercier, parce qu’elle reste persuadée que les torts quant à leurs bousculade sont partagés. Rien ne lui fait penser que cette dernière n’est pas fortuite… « On s’installe quelque part ? » Propose t-il ensuite, et elle hoche la tête, ayant l’impression qu’elle va se réveiller de ce rêve merveilleux à tout moment. Mais il ne se passe rien et elle se retrouve assise sur un banc à côté de Bastian. Elle ne croit pas toujours pas à sa chance. Si bien qu’elle ne peut pas s’empêcher de formuler ses doutes à voix haute. « Dis… Je repensais à ce que tu me disais sur le hasard et les raisons… Tu ne vas pas me demander de faire tes devoirs ou quelque chose comme ça, hein ? » Sa méfiance risque de le faire fuir mais elle doit vérifier. Il y avait déjà eu des précédents fâcheux. Et puis il lui avait donné une réponse très ambigüe quand ils avaient parlé du hasard de leur rencontre… « Enfin, je dis ça mais il ne me semble pas qu’on étudie dans le même domaine. Tu es en commerce toi, non ? » Elle se ravise, essayant de se montrer un peu moins sauvage et de s’intéresser à lui. Ce garçon avait l’air gentil, il n’avait pas à payer pour les affronts des autres. Elle fait une nouvelle tentative. « Il est à quoi ton café à toi ? Il faut que je le sache si j’ai envie de te rendre la politesse un de ces jours. » Là, elle tâtonne carrément, essayant de voir s’il voulait vraiment apprendre à la connaître ou si elle était juste une distraction avant que les filles populaires n’arrivent en septembre.

 
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statut civil : célibataire joueur et profiteur. les femmes, les filles, je les veux toutes et je les aurais.
occupation : étudiant en commerce, dernière année, c'est plus une option car ma tête est littéralement occupée par la natation. un plan b quoi. et de temps en temps, je donne un coup de main à mon père dans son atelier. une vie bien occupée quoi.
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(#) Re: baby, when you finally, get to love somebody. (nola)
Lun 7 Sep - 22:42


nola & bastian
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Je ne suis pas parfait, je ne le serais jamais. Ce pari stupide me le montre encore, mais je reste un gars avec un minimum de principe. Et un des premiers, c’est de ne jamais poser de lapin. Un sms ça ne coûte rien, prévenir non plus. C’est pour ça que quand je vois le regard de Nola se perdre dans la foule, je me précipite pour ne pas qu’elle croit que je l’ai planté. Aussi ridicule que gentleman, mais j’ai l’impression que je passe ma vie dans les contradictions. Oui je suis là. répétais-je tout aussi bêtement, arquant un sourcil, intrigué. Et au lieu de rester dans quelque chose de légèrement gênant, je joue sur l’humour. Mais je suis un fantôme et il n’y a que toi pour me voir alors chuuuut. Je rigole, mais ce n’est pas vraiment marrant. Il n’y a que moi pour faire ce genre de débilité, bien que j’aurais d’habitude été du genre à répondre non je ne suis pas là. Enfin, il faut que j’arrête de penser autant à ce que je dois dire ou non, je vais finir par tout faire de travers à autre réfléchir. Je lui explique que je suis en retard à cause d’une soit disant file au café du coin. C’est normal, j’avais du temps devant moi. Je m’en suis créé en tous cas. Je n’avais plus de cours pour aujourd’hui et n’avait qu’à voir quelques amis ou faire une sieste avant de revenir ici. Mais tout ça, elle n’a pas besoin de le savoir. Puis je ne voulais pas t’imposer une énorme file après les cours, je me passerais de café rien que pour ça. continuais-je dans ma lancée, toujours d’aussi bonne humeur. Une conversation gênante engendrée par une situation embêtante, se transforme en une chouette discussion entre deux copains. Parfait.

L’improvisation me fait faire des trucs improbables mais sur ce coup, je suis assez fier de moi. J’enregistre l’expression de son visage lorsque je lui tends son café. J’ai visé juste, c’est parfait. Je ne sais pas quoi lui répondre d’ailleurs, alors je souris simplement. Je suis très doué. Et je la joue faussement modeste, incapable d’en dire plus. Je suis simplement content que ça lui fasse plaisir, ce qui d’ailleurs est assez intriguant. Elle me remercie, de nouveau, insistant sur le fait que je n’étais pas obligé. D’une certaine manière, si. Mais bon, elle n’est pas obligé de le savoir. Pas de quoi, vraiment. La brune cherche à partager les tords ou je ne sais quoi, et ça en devient gênant parce que tout est de ma faute. Ce discours sur le hasard est d’une bêtise et pourtant, j’y ai presque cru. Jusque maintenant.  Je lui propose de partir s’installer sur un banc et je la suis, m’installant à ses cotés. Ce qui suit, par contre, est assez surprenant. Pardon ? Je manque de recracher le peu de café que j’avais avalé, m’attendant à tout sauf à ça. Je toussote légèrement avant de rigoler. Il vaut mieux en rire qu’en pleurer, comme on dit. Non mais oui, je suis en commerce. Et non, je fais mon travail comme un grand. C’est ça alors, son quotidien ? Des gens qui veulent se lier d’amitié avec elle juste pour profiter de son intelligence ? C’est d’une tristesse. Mais non, je ne veux pas de son aide, je suis largement capable de me débrouiller. J’ai besoin d’elle pour quelque chose de plus spécial, de bien mieux que des devoirs. Je reste quand même légèrement choqué, plus par surprise qu’autre chose. Heureusement elle change de sujet et me demande ce que j’aime comme café. Je suis plutôt caramel ou alors café très basique. Et aujourd’hui, je suis allé sur le caramel, je me suis fait plaisir avec crème et crème fraîche, plutôt d’humeur sucrée et joyeuse. Je réserve mes expressos pour les matinées plutôt dures. Je bloque quand même une seconde, me remémorant ses dernières paroles. Mais dis moi, ça veut dire qu’il y aura une prochaine fois ou je me fais des idées ? dis-je en me tournant dans sa direction, souriant largement. J’enfonce, parce que la brune n’a jamais parlé d’un rencard, juste de me rendre un café. J’aime juste pousser le truc, dans mon sens, pour me faciliter la vie et aller plus vite. Elle me plaît bien cette Nola, elle est mignonne, me complimente et bavarde, mais pas de tout et de rien … Ça va dans une direction et ça change de toutes ces filles écervelées. Vous êtes en train de me draguer Mademoiselle Sanders, et j’apprécie beaucoup. finis-je par dire, la taquinant légèrement. Je m’étais promis d’y aller doucement avec elle, mais je pense que ce coté un peu cash pourrait jouer en ma faveur, voir l’amuser. Et comme on dit, femme qui rit à moitié dans ton lit.


AVENGEDINCHAINS


@Nola Sanders
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(#) Re: baby, when you finally, get to love somebody. (nola)
Mer 9 Sep - 19:10

I wish I was special You're so fucking special
feat @bastian tremblay et @nola sanders

« Oui je suis là. Mais je suis un fantôme et il n’y a que toi pour me voir alors chuuuut. » Nola apprécie cette façon délicate de rebondir sur sa réplique à elle, qui était stupide à la base. Là Bastian fait de l’humour mais sans moquer d’elle, ce qui est appréciable. Elle secoue la tête, légèrement amusée face à cette vanne, qu’elle est cependant obligée de démentir. « Il va falloir revoir ta cover alors parce que je peux te citer au moins trois filles qui t’ont maté en passant… » Elle s’enhardit doucement Nola, osant dire ce qui lui passe par la tête. Et ce n’est même pas un mensonge parce que le Tremblay attire définitivement les regards… Et pourtant, c’est vraiment sur Nola qu’il se focalise son attention, balayant ses remerciements pour le café, lui expliquant qu’il voulait surtout lui éviter de l’attente en allant le chercher directement. « Wow, c’est le traitement royal là, je devrais te bousculer plus souvent du coup. » Dit-elle, commençant elle aussi à faire de l’humour. Elle avait peu d’esprit aussi quand elle arrêtait d’être éblouie par Bastian. Elle enchaîne d’ailleurs quand il lui dit qu’il se passerait de café juste pour éviter de faire la queue. « Ah donc tu es un impatient chronique, c’est bon à savoir ! » Dit-elle amusée, contente d’apprendre des petits trucs sur un garçon qui lui semblait jusque là bien irréel…

La conversation se noue d’ailleurs doucement, les blancs s’estompent et elle a l’impression qu’ils pourraient bien s’entendre, à l’écart de tous, sur leur petit banc. Enfin, si elle ne gâche pas tout avec ses questions stupides. Car légitimement, Bastian est interloqué, voir légèrement choqué quand elle cherche à savoir ce qu’il lui veut. « Non mais oui, je suis en commerce. Et non, je fais mon travail comme un grand. » Elle pique un fard… « Je suis désolée… C’est que c’est déjà arrivé… Alors je me méfie maintenant… » Elle tente de se justifier mais ça lui donne en même temps un petit côté de pauvre fille. Heureusement, encore une fois, il ne lui tient pas rigueur de sa maladresse et rebondit sur autre chose qu’elle a dit, énonçant sa saveur préférée de café avant de retourner impitoyablement ses mots contre elle-même. « Mais dis moi, ça veut dire qu’il y aura une prochaine fois ou je me fais des idées ? » Il pivote sur le banc, touchant Nola en plein cœur d’un sourire radieux. « Vous êtes en train de me draguer Mademoiselle Sanders, et j’apprécie beaucoup. » Elle pourrait recracher le café qu’elle vient d’avaler, surprise par cette façon directe d’aborder les choses. Etait-ce si évident qu’elle crushait grave sur lui ? Elle s’empourpre à nouveau. La seule présence de Bastian la mettait dans tous ces états mais là, il jouait dangereusement avec son pouls et son rythme cardiaque. « Non pas du tout… Je disais juste que… » Elle commence à se justifier puis réalise juste à temps qu’il est encore en train de faire preuve de cet humour si particulier qui est le sien. Elle se reprend juste à temps. « Non mais quelle arrogance ! » Elle lui donne une petite bourrade, se fendant d’un large sourire à son tour. « Tu sais, je suis une fille très difficile, j’ai tout un tas de critères. Et je ne drague pas les inconnus. » Dit-elle en riant. Lorsqu’elle se détend et fait preuve d’humour, elle a l’air un peu moins coincée et timide. Elle enchaîne d’ailleurs. « Puis si je voulais vraiment te draguer, je ne m’y prendrai pas comme ça. » Dit-elle en essayant de gagner du temps et de se dédouaner. Mais il était doué pour retourner la situation à son avantage. Parce qu’il pouvait parler, lui aussi avait l’air clairement en train de la draguer… D’ailleurs ses mots tournaient en boucle dans la tête de la brune. « J’apprécie beaucoup, j’apprécie beaucoup, j’apprécie beaucoup… »

 
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