Aria Caldwellhors ligne x let me show you the way. fiche de présentation : https://yourpokerface.forumactif.com/t300-low-on-self-esteem-so-you-run-on-gasoline-aria
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messages : 389
rps : 31
name : nox eternam (amy)
faceclaim : halsey (ava/nox eternam)
âge : vingt-cinq ans. le fameux quart de siècle dont tout le monde parle. touché, coulé. la crise existentielle qui frappe à la porte. elle a toujours été là, mais cette fois, ça frappe. quel chemin prendre? quelle voie choisir? peut-être qu'il est temps de se poser? mais toi, te poser, c'est pas ton genre.
statut civil : électron libre, tu vas et tu viens, au gré de tes envies. tu t'attaches tout aussi vite que tu te détaches. le besoin d'attention viscéral, mais jamais de la même personne. tu ne restreins pas tes possibilités, t'aimes plaire, t'aimes jouer, dans les décolletés ou sur les torses musclés.
occupation : barmaid., créature de la nuit qui s'éclate les tympans derrière le bar à concocter des recettes exotiques, tout en faisant les yeux doux pour obtenir un billet en plus à glisser dans ta poche. en plus de ça, officieusement escort girl., quand le besoin et/ou l'envie te prend, quand y'a un client intéressant. quand tu te sens un peu trop seule (un peu trop souvent).
habitation : northern liberties, polar street, 128c
disponibilités : let's go baby.
couleur rp : #0099cc
nb de mots : 500 mots, adaptable.
intervention pnj : j'autorise !
champ personnalisé : she's a mess of gorgeous and chaos, and you can see it in her eyes.
| (#) walls could talk (( beni )) Jeu 9 Juil - 16:16 |
| Aujourd’hui, c’est ton jour de repos. Week-ends en décalé avec le reste du monde de par ton taf de barmaid, mais limite, ça te va comme ça. Parce qu’au moins, quand tu bouges, y’a personne qui bouge en même temps que toi. Les boutiques ne sont pas blindées, pas besoin de faire de réservation au resto quand tu veux y aller, et mieux encore : la laverie de ton immeuble est déserte. Parce que, six machines à laver pour une dizaine d’étages, c’est complètement con. T’as essayé, au début, d’y aller le soir. Sauf que les gens qui ont un job avec des horaires classiques de 9h-17h, ils sont dispos que le soir pour faire leurs lessives. Alors c’est la guerre pour avoir une machine de libre. Non, toi, t’es bien mieux comme ça, à ne pas vivre en même temps que les autres.
Tu te sors du lit vers midi, t’avales un bol de céréales et tu tries ton linge sale pour le fourrer dans un grand sac cabas. T’enfiles un mini-short de pyjama, une brassière en guise de top — sac sur l’épaule, téléphone et clés à la main, airpods dans les oreilles avec la musique assez fort, tes longs cheveux bleus qui te tombent dans le dos, direction l’ascenseur. Pas peur de sortir presque pas habillée, tu l’as toujours fait et t’as jamais croisé personne vers cette heure-ci. Au pire, t’es pas vraiment du genre pudique. T’es pas non plus à poil, on peut pas te coffrer pour exhibitionnisme.
Arrivée au -1, tu pousses la porte de la laverie. Bingo, toutes les machines sont libres. Tu jettes ton dévolu sur la première, celle qui est juste en face de la porte. C’est celle qui est la plus près, ta flemme t’intime de ne pas aller chercher plus loin. Tu ouvres le hublot et tu te penches pour déposer ton linge à l’intérieur de la machine au fur et à mesure, ta tête bougeant au rythme des coups de batterie qui résonnent dans tes oreilles. |
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