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 burn me in your arms - wiloan#1


shades of town :: Philadelphie, USA :: Center City
Winter Acaeciahors ligne x let me show you the way.Winter Acaecia


messages : 10
rps : 1
name : batgirl
faceclaim : Scarlett Leithold @drake.
âge : 18 ans
statut civil : qui voudrait d'elle ? qui la supporterait ? qui supporterait-elle ? elle a fait une fois confiance, elle s'est retrouvée enchaînée. elle ne fait plus confiance, elle ne veut plus. pourtant, il y a cette putain de flic. ce molosse qui semble s'en prendre à elle, ce molosse qui la veut, un baiser volé, les jambes écartées en pleine rue, sans amasser de fric, juste cette satisfaction cachée...
occupation : le corps vendu dans la rue, parce qu'elle ne peut pas faire autrement, parce qu'elle est privée de libre arbitre, parce qu'on la force. le corps vendu dans la rue, les pleurs qui se cachent derrière une grande gueule, elle a des chaînes invisibles, elle ne s'en sortira pas.
habitation : la rue
couleur rp : <i>[color=maroon]maroon[/color]</i>
nb de mots : je m'adapte. entre 500 et 1300 de base
intervention pnj : j'autorise !
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(#) burn me in your arms - wiloan#1
Jeu 3 Sep - 3:45

- burn me in your arms -

putain de barreaux. putain de vie. c’était encore la police, c’était encore la salope, à tous les coups. celle qui lui voulait tant de mal que de bien, celle qui aboyait et qui l’avait prise sans ménagement dans cette ruelle. celle qui attisait les flammes de sa haine, les penchants de ses désirs. elle la détruisait, elle la transformait, et l'acaecia n’avait aucunement envie de se retrouvée prisonnière des serres d’un tel rapace. pourtant, à chaque fois qu’elle y repensait, son plaisir coulait le long de ses cuisses, c’était décidément une sensation trop bonne que de sentir les griffes du molosse serrer son cou, tandis que le cri de l'hiver qu’elle était devenait plus aigu, enroué par le désir. elle en était folle. de cette femme, cette situation, ce putain de clébard qui semblait tout savoir d’elle, et rien savoir à la fois. celle qui parvenait à la soumettre et à l’enrager. elle ne rêvait que de la détruire. elle ne rêvait que de se soumettre. et dans cette putain de cellule de garde à vue, elle guettait. frayeur palpable sur son visage, haine sentie à au moins un kilomètre à la ronde, elle savait que si son bourreau apprenait sa mise en cellule, il lui infligerait pire supplice que quelques coups, et abus. il irait probablement jusqu’à détruire son âme. mais ça, la petasse de flic ne voulait ni le comprendre ni l’arrêter. elle ne faisait pas son boulot, tout simplement, et la colère du fougueux hiver se fit entendre alors qu’elle tapait une nouvelle fois contre ses barreaux en gueulant connasse de morello ! ramène toi si t’as l’courage, espèce de sale truie !!! elle ne savait aucunement si l’autre conne de son cœur pouvait l’entendre. si ses cris allaient attirer autre chose que ce poulet énervé qui venait la punir en ouvrant la cellule pour la gifler, lui faire savoir que s’il n’y avait pas ces caméras et ces barreaux, il la prendrait. après tout, « une pute ne sert qu’à ça ». et la rage dans les yeux de la saison ne faisait que grandir, tandis qu’elle crachait par terre en l’insultant même si c’était la seule façon de m’en sortir ou de survivre, aucune chance que je me courbe pour un p’tit con comme vous. vous valez rien, même l’autre salope de molosse vaut bien mieux. et puis c’est bien pour ça que vous êtes là, et pas en train de résoudre un crime. on vous garde pour surveiller la putain de pourriture humaine parce que vous appartenez à cette saloperie de misère ! j'suis sûre que derrière cet uniforme, y a un putain de salop qui siffle des bières en s'piquant l'coude, dans l'espoir d'oublier son groin de cochon !! et vos putains d'couilles, vous les avez perdues ? p'tit con !! elle allait trop loin, et elle le savait. elle s’énervait, et cela allait lui retomber dessus, surtout que la gueule du con qu’elle insultait trahissait son envie de la punir, de la détruire. et winter gardait cette fureur, tandis qu’elle espérait pouvoir le saccager et sortir. le saccager et s’en sortir. mais elle savait que c’était peine perdue, il avait une arme, il avait des muscles, il avait une matraque, il était flic et mauvais, elle était pute et mauvaise. elle allait se faire avoir, elle allait sentir passer le mauvais quart d’heure qu’il lui promettait du regard. et alors qu’il gueulait et ouvrait la porte de la cellule pour lever sa matraque, l'hiver eut peur. cachée derrière toutes ces insultes, ces fausses apparences, ces faux semblants, il y avait la frayeur, la crainte, les cauchemars. elle avait peur. tellement peur. et à raison. parce que le premier coup lui donna envie de pleurer, le second la força à se protéger avec ses bras, si fins, si frêles, et le troisième manqua de l’assommer. il ne comptait pas s’arrêter là, mais il n’y eut aucun quatrième coup. à la place, une voix, qu’elle ne reconnaissait que trop bien. la pute et la flic. une histoire qui n’avait aucune fin. elle vit sloan stopper le coup, et menacer le pauvre garde qui se barra en courant. avant d’entrer dans la cellule, un ton froid disant à l'acaecia de se relever, lui ordonnant de se soumettre, le regard mauvais, molosse enragé face au froid hivernal qui semblait pourtant brûler toujours plus en sa présence. le regard embué de larmes qu’elle tentait de refouler, la saison affronta le clébard, posant ses mains contre ses épaules pour tenter de la repousser, en vain. elle était bien plus forte, la foutue flic. espèce de putain de tarée de merde !!! j’suis sure que t’as pris ton pied, comme tu m’as prise la dernière fois !! elle était en colère. effrayée, aussi. comme toujours. mais les larmes de winter étaient plutôt alimentée par le soulagement et la peur que par la rage. parce que la saleté de flic venait de la sauver. et elle le savait. elle le savait alors qu’elle la frappait de ses poings sans grande force, qu’elle se faisait immobiliser, qu’elle sentait le souffle du molosse contre ses lèvres. va pourrir en enfer ! sale putain de truie ! et elle se sentait bien, pourtant. en sécurité, pourtant. même si morello savait lui faire mal, la douleur avec elle devenait une véritable source de bonheur. elle devenait limite masochiste en sa présence. et enfin. elle n’avait plus à craindre un garde trop imbu de sa personne. juste un bourreau qui ne manquerait pas de l’exterminer une fois qu’elle serait sortie. alors elle la défiait, la sloan. elle la défiait, le regard dur, les larmes encore mortes sur ses joues.
elle la défiait. parce qu'elle était en colère. parce qu'elle était encore terrorisée. parce qu'elle ne savait faire que cela.
parce qu’elle ne pouvait s’empêcher de l’aimer.

Sloan Morellohors ligne x let me show you the way.Sloan Morello


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faceclaim : olivia wilde ; loudsilence
âge : trente-six balais, la quarantaine qui s'approche et la crise déjà entamée.
statut civil : célibataire endurcie, une seule histoire de cinq ans dont elle ne garde que de mauvais souvenirs. elle s'est promis de ne plus perdre de temps avec l'amour, mais c'était sans compter sur cette rencontre avec une jeune prostituée; sentiment nouveau qu'elle ne peut ni expliquer, ni contrôler...
occupation : inspecteur PPD. s'acharne à faire appliquer la loi à sa manière ; tel un molosse. elle ne vit que par son travail.
habitation : queen village
nb de mots : 500+
intervention pnj : pas pour l'instant
champ personnalisé : ❆♡ winter | drown with me...
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(#) Re: burn me in your arms - wiloan#1
Lun 7 Sep - 19:01

Voir sa lionne en cage, un spectacle dont elle aurait pu se délecter si ses sentiments n’influençaient pas tant sa raison. Morello ruminait seule, observant la blonde se déchaîner sur les barreaux de sa cellule en la provoquant. Si elle ne se calmait pas rapidement, elle savait qu’un de ses collègues risquait d’intervenir. Mais pas elle, malgré l’envie, pas maintenant, pas au risque qu’ils ne découvrent son petit jeu avec cette putain. Trop de caméras, et les murs avaient des oreilles. Ses yeux rivés sur l’écran de surveillance, murmurant inutilement à sa lionne de rester calme, craignant la suite. Aucune surprise lorsqu’elle vit Sawyer venir à sa rencontre pour lui ordonner d’arrêter en la giflant. Poing serré, le molosse fulminait déjà en voyant un tel geste à l’encontre de la prostituée. Elle seule avait le droit de lever la main sur elle. Elle seule avait le droit de l’approcher. Et quelle ne fût pas sa colère lorsque, impuissante, elle observa l’agent s’emparer de sa matraque pour se défouler. Quel fils de pute. aussitôt l’écran éteint, qu’elle s’empressa de les rejoindre.

Putain, Sawyer ! Si je te vois l’approcher encore une fois je te brise moi-même la queue ! grogna-t-elle à son collègue en s'agrippant aux barreaux de la cellule à défaut de voir son poing partir dans sa mâchoire. Et alors que l’agent, queue entre les jambes, rangea sa matraque pour sortir à la hâte, Morello lui adressa un regard meurtrier en lui attrapant la manche. Reste dans le coin, j’en ai pas fini avec toi. Au-delà du fait qu’il avait osé lever la main sur Winter, Sloan ne pouvait accepter un tel comportement dans son unité. Se contenant pour ne pas lui décrocher un coup, elle laissa l’homme filer, avant d’entrer à son tour dans la cellule, se postant devant la jeune prostituée. Lèves toi. Lui cracha-t-elle en s'approchant encore, prête à l'affronter une nouvelle fois, prête à affronter ce regard plein de haine. Et la haine, dans son métier, elle la connaissait, la côtoyait chaque jour. Mais Winter ne la haïssait pas comme les autres…
Les mains frêles de la blonde tentaient en vain de la repousser mais sa force ne suffisait pas à stopper le molosse, qui, visage fermé, empoigna les bras du félin pour la bloquer contre le mur. Elle tentait de la calmer tout en la laissant s’exprimer, consciente de son état, consciente de sa colère. Son regard ne cessait de contempler le visage de sa lionne, humide de larmes, tiré par la fureur. Elle n’en restait pas moins magnifique. Et une douceur chaleur lui prenait déjà aux tripes, en souvenir de leur dernière entrevue. Ses mains serrèrent davantage les bras de Winter, sans se préoccuper de savoir si elle lui faisait mal ou non. Le tout était de ne rien laisser paraître… Ça y est, t’es calmée ?! C’est pas en gueulant et en gesticulant comme une folle que tu sortira d’ici plus vite, au contraire. fit-elle sèchement. Comment tu peux être aussi conne pour te faire chopper à chaque fois... Ça n’était pas de la moquerie, mais plutôt une peur dissimulée. Peur dont elle avait prit conscience que bien trop tard, alors qu’elle avait commis l’erreur deux fois, déjà. Celle de vouloir l’arrêter, au risque d’éveiller la colère de celui qui la gardait enchaînée, qui tenait sa vie entre ses mains. Pour une fois, elle n’était pas responsable de son arrestation, mais l’inquiétude la gagnait davantage maintenant qu’elle la savait dans le collimateur de ses collègues. Il fallait qu’elle redouble de vigilance, désormais.
Rapide coup d’oeil jeté en direction de la caméra dirigée sur la cellule, Morello vient ensuite attraper le visage de la blonde entre ses doigts et montra les crocs. Et j’te conseille de ne rien dire sur ce qui s’est passé la dernière fois, ou t’auras de sérieux problèmes. son regard ne savait rester mauvais, il finit d’ailleurs par s'adoucir, devenant presque suppliant. Ça… reste entre nous.

@Winter Acaecia
 
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